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Mis à jour: 23 juin 2025


C'est seulement pour ça que tu es venue?... Pourtant tu es riche maintenant, tu ne dois manquer de rien. Je manque de tout, Georgeo, puisque je manque de toi. Viens.

Georgeo, la grande belle table l'on me sert me rend triste, toute leur bonne cuisine me porte au cœur... la pièce je dors est triste... je voulais être riche, je veux être riche, mais il faut que tu sois près de moi... Ici je me trouve bien, je suis

Rig fit la grimace. C'est bon, ça... hein? disait le jeune homme. Pour faire des conserves! dit le vieux Rig... En route, Iza. La jeune fille se jeta au cou de Georgeo; ils s'embrassèrent amoureusement. À bientôt, dit Iza... Et n'oublie pas,... chez le maître

Et, en disant ces mots, Iza plongea ses mains dans ses poches, en tira des poignées de pièces d'or, qu'elle fit tomber en cascade sur la table. Georgeo Golesko eut un tressaillement, ses yeux brillèrent et il passa ses doigts sur l'or comme pour le caresser... Tu vois, mon Georgeo, le maître agit bien. Et il me payerait ainsi? Il t'attend... ?

Et Georgeo ne voyait rien... Il regardait si, sur la route, dans la grande nappe de soleil, on voyait se dessiner la silhouette du vieux Rig. S'il ne vient pas, disait Georgeo, nous partirons toujours et je reviendrai

La vie nouvelle qu'elle menait depuis le matin l'amusait... elle s'y grisait... et cependant, si Georgeo avait été plus attentif, il aurait vu que c'était plutôt un caprice qu'une passion, qui ramenait la jeune fille;

À onze heures et demie, Georgeo allait

Georgeo restait pensif, il ne dit rien: mais Iza, qui l'observait et qui le connaissait, comprit qu'il avait pris une violente résolution. Toujours silencieux et pendant qu'Iza fermait les yeux comme pour s'endormir, il attela son cheval et se mit en route. La nuit venue, il traîna sa voiture dans un champ et rentra dans sa baraque. Il revêtit son costume de montagnard, ses chaussures étranges, mais souples, dont les lacets se tordaient autour de ses jambes, il glissa dans sa poche son revolver, son couteau dans sa ceinture et, ayant mis par-dessus une vieille blouse, il dit

Sous son calme apparent, Georgeo cachait une certaine crainte. Il était parti de son pays pour des causes

Tu t'en doutes bien, vieux coquin; je te conduis chez le lieutenant... Comment, vieux gourmand, tu voulais tout, tout pour toi tout seul!... Tu laisses cette pauvre petite Iza, la petite sauvagesse, dans la misère... Georgeo, il n'y a plus rien

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