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Ensuite, le héros de Raghou vit la Gangâ, nommée aussi la Bhâgîrathî, appelée encore la Tripathagâ, ce fleuve céleste, très-pur, aux ondes froides, non embarrassées de vallisnéries, dont les flots nourrissent les marsouins, les crocodiles, les dauphins, dont les rives, hantées par les éléphants, sont peuplées de cygnes et de grues indiennes; la Gangâ, qui doit sa naissance au mont Himâlaya, dont les abords sont habités par des saints, dont les eaux purifient tout ce qu'elles touchent et qui est comme l'échelle par l'on atteint de la terre aux portes du ciel.

Après qu'ils eurent longtemps marché dans cette route, le jour vint complètement, et la reine des fleuves, la Gangâ se montra aux yeux des éminents rishis. À l'aspect de ses limpides eaux, peuplées de grues et de cygnes, tous les anachorètes et le guerrier issu de Raghou avec eux de sentir une vive allégresse.

«Amène, s'il t'est possible, du séjour des Immortels, la Gangâ sur la face de la terre; procure ici-bas, et puisse le bonheur sourire

Ils entourent de tous les côtés Viçvâmitra le magnanime, et Râma lui dit alors: «Je désire que tu me parles, saint homme, sur la reine des bruyantes rivières; dis-moi comment est venue ici-bas cette Gangâ, le plus noble des fleuves, et la purification des trois mondes

Tandis que ce magnanime Bharata donnait l'onde aux mânes paternels, on vit les fleuves saints, la Vipâçâ, et le Çatadrou, et la Gangâ, et l'Yamounâ, et la Sarasvatî, et la Tchandrabhâgâ, et les autres cours d'eau vénérés s'approcher de la Çarayoû.

«Cette descente de la Gangâ comblait enfin de plaisir tous les trois mondes. Le royal saint

«Ensuite les Immortels, ambitieux d'une si brillante union, sollicitèrent la main de la belle Gangâ, et le Mont-des-neiges, suivant les règles de l'équité, voulut bien leur donner

«Tombée des cieux, la Gangâ, qui est le plus grand des fleuves, briserait entièrement la terre dans sa chute par la masse énorme de ses flots. Il faut donc, ô roi, supplier d'abord le dieu Çiva de porter lui-même cette cataracte; car il est certain que la terre ne pourra jamais soutenir le saut du Gange.

Maitreya se souvient d'une jeune fille, Narada pleure sa mère morte, Angira cherche et doute. Tous trois souffrent et voudraient oublier. La déesse Ganga les entend et leur dit d'aller

Dans ces temps fabuleux, les limbes de l'histoire, les fils de Raghû, beaux de fard et de gloire, Vers la Ganga régnaient leur règne étincelant, Et, par l'intensité de leur vertu, troublant Les Dieux et les Démons et Bhagavat lui-même, Augustes, s'élevaient jusqu'au néant suprême, Ah! la terre et la mer et le ciel, purs encor Et jeunes, qu'arrosait une lumière d'or Frémissante, entendaient, apaisant leurs murmures De tonnerres, de flots heurtés, de moissons mûres, Et retenant le vol obstiné des essaims, Les Poètes sacrés chanter les Guerriers saints, Ce pendant que le ciel et la mer et la terre Voyaient rouges et las de leur travail austère S'incliner, pénitents fauves et timorés, Les Guerriers saints devant les Poètes sacrés! Une connexité grandiosement calme Liait le Kchatrya serein au Chanteur calme, Valmiki l'excellent