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Mis à jour: 19 juin 2025


"Il me découvrit sous la feuillée, au moment même cette jolie fille, prompte comme Galatée, se coulait dans le pavillon; en sorte que j'avais l'air de la poursuivre

Je vous le promets. C'est bien. J'ai confiance en vous. Maintenant, laissez-moi deviner. Oh! vous ne pourrez jamais. N'essayez même pas! C'est au-dessus de mon imagination? vous en êtes sûre? Oui. Miséricorde! qu'est-ce que cela peut être? Galatée ne répondit pas.

Traits enfantins et superbes, ardente et riche crinière, bras dignes de l'arc, corps d'amazone victorieuse, pieds aux ongles purs, aux doigts écartés; Coysevox lui-même n'aurait pas fait mieux. Puis Vénus dénoua sa ceinture et toucha le sein de Galatée, et elle lui donna ainsi le charme irrésistible. Les autres dieux firent aussi leurs présents.

Dans la pièce ils pénétrèrent ensemble, Philis et Galatée, près de leurs dignes parents, attendaient l'issue d'une conférence dont les éclats singuliers les frappaient douloureusement.

C'est la Galatée de Miguel de Cervantès, répondit le barbier.

La Calypso, tout au contraire de sa soeur Galatée, qui fuyait pour être vue, aurait bien voulu, elle, fuir, sans être vue. Il n'y avait rien

Il a ensuite la hardiesse, et peut-être l'imprudence, de comparer, deux par deux, les œuvres et les personnages de la littérature antique et de la moderne: Ulysse et Pénélope d'Homère, Adam et Ève de Milton; le Priam de l'Iliade et le Lusignan de Zaire; Andromaque, ou la mère, de l'Iliade, et Gusman, ou le fils, d'Alzire, etc. L'antiquité, dans ces comparaisons, me semble avoir trop d'avantages. Il rapproche Didon et la Phèdre de Racine, cette «chrétienne réprouvée» et préfère celle-ci, et il a sans doute raison; puis il compare Polyphème et Galatée

Op., ep. XII, D. II Timoth. Abélard accueillit cette lettre comme une confession pour y répondre par une homélie . Il en traita tous les points avec méthode, et trouva dans toutes les plaintes d'une infortunée le motif ou le prétexte d'un sermon. D'abord, il ne veut voir dans les aveux d'Héloïse qu'une preuve d'humilité, et il l'approuve de ne point aimer la louange, pourvu cependant qu'elle prenne garde d'imiter la Galatée de Virgile qui fuit et cherche en fuyant ce qu'elle semble éviter. A la peinture de leurs malheurs passés et de ses cruels regrets, il répond comme un confesseur que ces maux sont un châtiment mérité, une leçon utile, une expiation nécessaire. Il lui rappelle fort nettement leurs péchés, afin de la bien convaincre que Dieu ne leur a fait que justice. Il la prie donc très-instamment de déposer toute cette amertume dont il la croyait délivrée, et surtout de ne plus déplorer les circonstances de leur commune conversion, dont elle devrait plutôt remercier le ciel. Il la conjure, puisqu'elle tient tant

Sans eux, l'auteur de Galatée tomberait dans l'oubli, et ce serait dommage. On éprouve

Mais, dans les idées les plus extravagantes que puissent admettre les hommes, on trouve toujours, quand on observe de bonne foi, un élément de raison qui leur sert parfois d'excuse. Depuis le tableau des Aigles de David, l'affaiblissement de sa verve s'était fait sentir, et après l'Entrée de Henri IV, le dernier bon ouvrage de Gérard, maître et disciples, tous avaient décliné. La Galatée de Girodet, le Couronnement de Charles X, par Gérard, et la Fuite de Louis XVIII, de Gros, en fournissaient des preuves irrécusables. Quant aux peintres plus jeunes que ceux-ci, formés par David, la plupart, on l'a déj

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