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Mis à jour: 18 juin 2025
La nature du supplice lui-même, le vent glacial qui emporte dans un tourbillon de frimas les deux coupables, mais qui les emporte ensemble, échangeant l'amère et éternelle confidence de leur repentir, buvant leurs larmes, mais y retrouvant au fond quelque arrière-goutte de leur félicité perdue, quoi de plus dans un tel récit épique?
Toi qui permets, ô père! aux pauvres hirondelles De fuir sous d'autres cieux la saison des frimas, N'as-tu donc pas aussi pour tes petits sans ailes D'autres toits préparés dans tes divins climats?
Car j'ai beau te faire crépiter sous la pointe rageuse de mon canif, je ne pourrai anéantir, avec toi, le symbole que tu portes, le mauvais présage dont ton aile était chargée. Dans cette orgie radieuse des choses sous la tendresse caressante du soleil, tu es tout simplement le mane, thecel, phares apparaissant sur l'obscurité des murailles lointaines faites des orages amoncelées et des frimas
Fermés au reste du monde par leur barrière de frimas, les Esquimaux sont, plus que tout autre peuple, restés en dehors des influences étrangères, en dehors de notre civilisation qui brise et transforme ce qu'elle touche. La science préhistorique a vite compris qu'ils lui offraient un type intermédiaire entre l'homme actuel et l'homme des temps disparus. Quand on entra chez eux pour la première fois, ils étaient en plein âge d'os et de pierre , tout comme les Guanches quand on les découvrit; leur fer et leur acier sont d'importation très récente et presque contemporaine. Les Européens de la période glaciaire ne sauraient avoir mené une vie très différente de celle que mènent aujourd'hui les Inoïts dans leurs champs de neige. Comme on vit maintenant au Groenland et au Labrador, on vivait jadis
C'était en 1629, le 1er mars, je crois. Le mont Genèvre, couvert de frimas, offrait le spectacle d'une animation extraordinaire sur ses deux versants, et jusqu'
La nuit est descendue depuis plusieurs heures sur la terre enveloppée de frimas. La neige immaculée recouvre les champs de son immense tapis, le givre habille de brillantes dentelles les arbres dépouillés de leur parure d'été. Le ruisseau, alourdi d'un épais manteau de glace, ne murmure plus sa douce chanson. Les oiseaux eux-mêmes sont sans voix et les fleurs sans parfums. La nature sommeille et semble engager, par son exemple, toutes les créatures au repos. Il est bientôt minuit... Au loin, l'âpre rafale du nord pousse vers l'horizon de grands nuages noirs qui s'agitent comme des géants, et les étoiles se détachent des sombres profondeurs du firmament, avec cette scintillation particulière aux pays froids. Il est bientôt minuit et cependant on veille; dans les maisons éclairées les oreilles attentives écoutent les bruits extérieurs; encore quelques instants, et le gai carillon des églises va se faire entendre. Dans les cités opulentes, comme dans les plus modestes bourgs, partout,
Ahi! Mais je ne ris pas le dernier... Un matin de la fin d’octobre, que la ville s’encapuchonnait sous les frimas et que luisait sur les pavés la bave d’argent du verglas, en montant
A perte de vue la campagne, couverte de neige, était blanche, d'une blancheur immaculée, éblouissante. Seules, des volées de corbeaux s'abattant sur les arbres chargés de frimas ou sur les labours fraîchement ensemencés, mettaient sur cette blancheur uniforme des taches d'un noir violent.
L'immense carnage de ce champ de bataille disputé aux frimas, aux extrémités de la Sarmatie, entre l'armée française épuisée de sang et l'armée russe brillant de se venger de la défaite d'Austerlitz, est une des scènes les plus tragiques dont l'histoire puisse consterner l'humanité. Le corps d'armée d'Augereau reste presque tout entier dans la neige, écrasé par les batteries russes.
Temps perdus, et qu'on ne saurait oublier! Illusion trop vaine d'une sensibilité expansive! Que l'homme est grand dans son inexpérience: qu'il serait fécond, si le regard froid de son semblable, si le souffle aride de l'injustice ne venait pas sécher son cœur! J'avais besoin de bonheur. J'étais né pour souffrir. Vous connaissez ces jours sombres, voisins des frimas, dont l'aurore elle-même épaississant les brumes, ne commence la lumière que par des traits sinistres d'une couleur ardente sur les nues amoncelées. Ce voile ténébreux, ces rafales orageuses, ces lueurs pâles, ces sifflements
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