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Mis à jour: 24 juillet 2025
Pierre comte Tolstoï, né en 1769, fit ses premières armes sous les ordres de Souwaroff, et devint général en 1805. Après Friedland, il fut employé dans les négociations, et en 1807, il fut nommé ambassadeur
Je n'éprouvai aucun accident fâcheux pendant la bataille de Friedland, bien que j'y eusse été exposé aux plus grands dangers; voici comment: Vous m'avez vu partant le matin de Posthenen par ordre du maréchal Lannes, pour aller
«Aveunes, 14 Juin 1815. «Soldats! «C'est aujourd'hui l'anniversaire de Marengo et de Friedland, qui décidèrent deux fois du destin de l'Europe. Alors comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux, nous crûmes aux protestations et aux serments des princes que nous laissâmes sur le trône; aujourd'hui cependant, coalisés entre eux, ils en veulent
L'empereur était de fort mauvaise humeur; le maréchal Davout venait d'arriver, il le fit manoeuvrer sur notre gauche, et son seul mouvement fit évacuer aux Russes leur position en avant d'Heelsberg; ils repassèrent l'Alle, et dans la nuit du 11 au 12 ils partirent pour Friedland.
Les grenadiers du général Oudinot étaient en face de Friedland le matin du 14,
Le maréchal Ney commença, et s'engagea très vivement; ses troupes s'emportèrent, et voulurent, d'un premier élan, insulter jusqu'au pont de Friedland. La division qui l'avait entrepris fut si vertement ramenée, qu'elle aurait entraîné infailliblement le reste de ce corps d'armée si la première division du corps de Victor, commandée par le général Dupont, n'eût fait, fort
M. de Stuterheim était parti de Vienne après que l'on y avait su la bataille de Friedland: venait-il savoir quels en seraient les résultats pour les Russes, juger de ce qu'ils pouvaient encore, et leur donner des paroles de consolation de la part de sa cour: cela n'était pas invraisemblable; comme aussi il pouvait avoir la mission inverse, c'est-
Le duc de Danzig. Police de Fouché. Bataille de Friedland. M. de Lameth. Traité de Tilsit. Retour de l'empereur. M. de Talleyrand. Les ministres. Les évêques.
Le corps du maréchal Ney avait la plus rude mission, car, caché dans le bois de Sortlack, il devait en sortir et pénétrer dans Friedland, où se trouvaient agglomérées les principales forces et les réserves ennemies, s'emparer des ponts et couper ainsi toute retraite aux Russes. On comprend difficilement comment Benningsen avait pu se résoudre
Il n'y avait que ce grand guerrier qui tutoyait l'Empereur. Lui serrant la main, celui-ci dit: «Pars de suite avec les grenadiers Oudinot, ton corps et la cavalerie. Marche sur Friedland; je t'envoie le maréchal Ney.»
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