United States or Samoa ? Vote for the TOP Country of the Week !


Suivant le samanéen ou le moine bouddhiste, qui fit connaître le Fou-sang aux Chinois, en 499 de notre ère, ce pays était

Il semble donc, qu'il traduit par ces mots, ce que disait en 499 de notre ère, Hoeï-chin, sur les peuples du Fou-sang. Et si nous avons signalé aussi cet usage dans l'Inde antique, nous ne l'avons pas fait sans dessein, car ce même Samanéen affirme que la religion de Bouddha, religion indienne, avait, dès l'an 458 de notre ère, été portée dans le pays de Fou-sang, par cinq religieux du Ky-pin, ou de la Cophéne, contrée indienne; il dit que les peuples convertis dès lors par eux, n'avaient ni armes ni troupes, et (

Ce dernier a été successivement gouverné, de 420 jusqu'en 589, par les quatre dynasties des Soung, des Thsi, des Liang et des Tchhin. L'histoire de ces deux empires a été rédigée par Li-yan-tcheou, qui vivait vers le commencement du 7e siècle. Voici ce qu'il dit du Fou-sang .

Nous pourrions aussi discuter le son des noms donnés au roi et aux grands du pays de Fou-sang ; mais ces discussions nous entraîneraient trop loin. Nous nous bornons donc

Il s'aidait des lumières jetées par les Russes et les géographes les plus modernes sur les contrées extrêmes du nord-est de l'Asie; et, dans un savant travail inséré au T. XXVIII des Mémoires de l'Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, il prouvait, autant qu'on le pouvait faire alors, que ce pays de Fou-sang, connu dès l'an 458 de J.-C., riche en or, en argent et en cuivre, mais manquait le fer, ne pouvait être autre que l'Amérique.

Comme on le voit dans la gravure que nous donnons ici, les Chinois supposent que les hommes qui habitaient le pays du Fou-sang étaient presque nus; or, dit-on, les habitans de l'Amérique du nord étaient revêtus d'habits. Cela est vrai pour la plupart de ces pays; mais dans le Voyage

Dans son Histoire de la dynastie des Tang, qui a régné peu de tems après l'époque les Grandes Annales ont transcrit ces Relations du Ta-han et du Fou-sang, il dit: «que l'on compte 15,000 lys entre la Perse et la ville de Sy-ngan-foualors capitale de la Chine; la Perse étant en ces livres désignée sous le nom de royaume de Po-sse, et sa capitale devant être vers Passa-garde et Schiras ou Persépolis.

Les Bouddhistes de l'Inde ou du nord de l'Asie-Centrale avaient donc pu le porter dès lors au pays de Fou-sang, en Amérique et au Mexique. Dans l'Inde, on le sait, ce sont surtout les boeufs qu'on attelle aux chars, et, au Kamtchatka, ce sont les rennes, espèce de cerfs, qui tirent les traineaux. De Guignes traduit: «Les habitans élèvent des biches comme en Chine, et ils en tirent du beurre

Planche 50. Homme du Royaume du Fou-Sang, qui trait une Biche tachetée comme on en a trouvé en Amérique. Extrait du Pian-y-hen t. V. liv. 41. Figure d'un des 8 Bouddhas sous une tête d'Homme lyphonien ou de Siva, trouvé

La Chine avait reçu leur culte peu de tems après notre ère, sous Ming-ty, des Hans; la Corée, dès l'an 372 de Jésus-Christ; le Fou-sang, avons-nous dit, en l'an 458; et le Japon, enfin, seulement en 552, le recevant aussi de la Corée et du royaume de Pe-tsy, pays situé dans cette même contrée de l'Amour et de la Corée, ancien centre de civilisation.