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Peut-être qu'en effet ils s'aimaient trop. Peut-être qu'il n'est pas bon de trop aimer, de même que, dit-on, ce n'est pas un bien que d'être trop riche. Hélas! du train vont les choses, grandes fortunes, grandes amours ne seront bientôt plus guère

Elle avait été d'ailleurs témoin des subites élévations du règne précédent, et tant de fortunes inattendues avaient entretenu son espoir. Impérissable domination d'une passion inassouvie! Quand les jours qui lui restaient

Dans ce désordre des fortunes réside en partie le péril pour le système nouveau et pour Alexandre. Si la faction anglaise a pu facilement ameuter l'opinion contre le signataire des traités de Tilsit, c'est qu'elle s'adressait

Dans une société démocratique, comme ailleurs, il n'y a qu'un certain nombre de grandes fortunes

Les crèches des particuliers selon les fortunes coûtaient de cinq cents

Fortunés époux! Quand la dernière torche a été lancée sur le lit funéraire, les femmes du mort, les cheveux épars, se disputent l'honneur de quitter la vie pour le suivre. Honte

Et la lutte nouvelle offre l'aspect sinistre de Moloch défendant Jésus. Au moment d'apporter notre existence entière, nos fortunes et nos vies

De ce nombre était la comtesse de Chailly, qui, dans sa jeunesse, malgré la différence des fortunes, avait eu, disait-on, pour mon père des sentiments fort tendres. Une amitié loyale avait survécu

Pendant que Sita dort, et qu'elle balbutie en rêvant avec terreur sur le bras du roi le nom de son cher Rama, celui-ci la regarde dormir: «Elle rêve que je l'ai quittéedit-il, «ou bien la vue de ces peintures qui retracent nos malheurs a troublé ses esprits... Ah! qu'il est heureux celui qui, dans la peine comme dans le bonheur, peut compter sur une tendresse éprouvée, dont le coeur repose avec confiance sur le coeur d'un autre dans toutes les fortunes, et qui, au déclin même de son âge, comme

Le comte Rodolphe eut certainement nombre de bonnes fortunes. Mais il ne paraît avoir connu que deux grandes affections féminines très profondes, très constantes, très attendries: l'une pour sa cousine l'ambassadrice, la délicieuse comtesse Antoine Apponyi, la «divine Thérèse», qui lui vint fermer les yeux lorsqu'il mourut prématurément