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Mis à jour: 9 juin 2025
Nos commissaires revenus, et les choses étant en règle: «Vous êtes libres, Messieurs», dit sir James Footes au capitaine Bourdé et aux officiers qui étaient venus lui faire leurs adieux et le remercier de ses procédés. Ils se retiraient, et je me disposais
«Pour vous, Monsieur, me dit le capitaine Footes, en me tirant de mes réflexions, je ne vous ai pas assigné de logement; n'en concluez pas pourtant que je vous aie oublié. Je ne peux pas non plus vous donner une chambre entière, mais si la mienne vous plaît, vous pouvez la partager avec moi. Je n'ai qu'un hamac; mais voil
Ses bons procédés envers nous tous, conséquence de son bon naturel, étaient provoqués, je dois aussi le dire, par ceux qu'avait eus notre capitaine. L'année précédente Bourdé avait capturé un bâtiment anglais, et traité avec les égards les plus délicats les officiers qui s'y trouvaient. Non seulement il les avait relâchés sur leur parole de ne pas servir sans avoir été échangés, mais après leur avoir fait la meilleure chère possible, il leur avait ouvert sa bourse: plusieurs de ces officiers, qui se trouvaient sur le Sea-Horse, ayant instruit de ces faits le bon capitaine Footes, celui-ci, heureux d'acquitter une pareille dette, se plaisait
C'était, et, s'il vit, c'est encore un homme vraiment honorable que le capitaine James Footes. Un an après le fait dont il s'agit, il donna une nouvelle preuve de sa loyauté, de sa générosité.
Sir James Footes, ainsi se nommait le capitaine du Sea-Horse, nous reçut avec plus de politesse que de grâce, mais la bienveillance perçait
L'amiral Nelson, au mépris de l'honneur britannique, au mépris de son propre honneur, violant le traité en conséquence duquel le château de l'Oeuf et les autres forts de Naples avaient été évacués par les Français, et ayant livré aux vengeances d'un monarque restauré les patriotes napolitains que ce traité devait garantir, non seulement James Footes exécuta ce traité autant que cela dépendit de lui, mais protestant en face de l'Europe contre ce parjure, il dénonça au parlement l'amiral complice des plus lâches cruautés qui aient signalé le rétablissement du plus lâche des gouvernemens.
Le capitaine Footes, ainsi que je l'ai dit, comprenait parfaitement notre langue, il en sentait toutes les finesses quand il lisait; mais quand il parlait c'était autre chose, quoiqu'il s'exprimât sans difficulté. Le lendemain de mon installation chez lui, mon premier soin en ouvrant les yeux fut de lui demander comment il avait passé la nuit. «Très-bien, me répondit-il; et vous aussi, car vous avez dormi comme une cochone, et j'en suis charmé, vraiment.» J'eus beaucoup de peine
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