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Mis à jour: 1 juillet 2025


Beauport! ce nom figure au livre de la gloire, Car son sol autrefois a bu le sang des preux; Laverdière, Garneau, Ferland, dans leur histoire Parlent de cet endroit en termes chaleureux. C'est de l

Il se guérit en employant, comme remède, les feuilles et l'écorce d'un arbre qu'il désigna. Cet arbre, nommé anedda par les sauvages, était vraisemblablement l'épinette blanche. Le traitement indiqué fut essayé avec succès; et les guérisons furent si rapides et si complètes, que tous ceux qui voulurent s'en servir furent sur pied en huit jours. Ferland: Histoire du Canada, Tome Ier, page 35.

Ferland, Histoire du Canada Tome Ier, pages 139 et 140.

Puis le Mentor ajoutait: Lescarbot, Charlevoix, Ducreux, Garneau, Ferland on eu cette grande vision historique, mais au prix de quels labeurs,

[Note 121: Il est certain que le mot Québec ou mieux Kebbek, suivant sa primitive orthographe, était inconnu aux compagnons de Jacques Cartier. M. l'abbé Ferland, dans unes des notes explicatives publiées au pied de la page 90, tome Ier, de son Histoire du Canada, parlant de la fondation de Québec et du voyage de Samuel de Champlain, en 1608, dit que le fondateur, "après avoir reconnu l'Ile aux Lièvres, la Malbaie et l'Ile aux Coudres, arriva

Et cette autre description magistrale, merveilleusement empoignante de la Revanche du 13 septembre 1759, la victoire du 28 avril 1760, gagnée dans les champs de la vieille paroisse de Notre-Dame de Foye, sous les remparts mêmes de Québec avec son point stratégique légendaire, l'immortel moulin Dumont; l'avons-nous lue, nous les jeunes? Chez Garneau, Ferland, Laverdière? Non pas; mais dans Les Anciens Canadiens de cet octogénaire littérateur Philippe Aubert DeGaspé, publiés en feuilletons dans la Revue Canadienne de 1860. Notre premier cours d'Histoire du Canada s'est donc fait dans un roman très canadien-français, et, disons-le

A part ce que nous avons appris de force au collège, que savons-nous de l'Histoire du Canada? Combien d'entre nous ont eu la bravoure de compléter les notions rudimentaires des Abrégés suivis en classe, par la lecture entière de Ferland ou de Garneau?

Je ne sais si M. Ferland est un sentimental; il doit l'être un peu: tous les poètes et les fervents de l'Art le sont plus ou moins.

Six ans après avoir pris possession de son île, en 1681, un recensement cité par M. Ferland donne de curieux détails sur la famille du découvreur du Mississipi.

Que l'on ne s'étonne pas de voir que mon héros, tout en se livrant aux luttes politiques, est non seulement un croyant mais aussi un pratiquant, un chrétien par le coeur autant que par l'intelligence. L'abbé Ferland nous dit, dans son histoire du Canada, que "dès les commencements de la colonie, on voit la religion occuper partout la première place". Pour atteindre parmi les nations le rang que la Providence nous destine, il nous faut revenir

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