United States or Portugal ? Vote for the TOP Country of the Week !


Lundi 31 octobre. Des affiches de toutes les couleurs, de toutes les grandeurs, couvrant les murs de Paris, et partout étalant en colossales lettres: LA FAUSTIN. Au chemin de fer, une annonce peinte mesurant 40 mètres sur une largeur de 275. Ce matin, le numéro du Voltaire, tiré

Mercredi 8 février. Ce livre de LA FAUSTIN, mes confrères ne s'aperçoivent pas que c'est un livre, autre que ceux que j'ai déj

Parlant de la FAUSTIN, Tourguéneff s'abrite derrière Mme Viardot, pour dire que nos observations sur les émotions des femmes de théâtre, étaient archi-fausses. Et ce qu'il dit n'être pas vrai, c'est rédigé d'après des observations, en partie fournies par les sœurs de Rachel, en partie par une confession dramatique de Fargueil, dans une grande lettre que je possède.

On a donné au collège est son fils, une narration française, dont le sujet est la mort d'un personnage quelconque. Trois élèves lisent successivement une mort, dans laquelle tous les trois avaient introduit l'agonie sardonique de la Faustin.

Je regarde les étalages de libraires, et il me semble que les numéros des tirages ne changent pas, et que les couvertures des exemplaires exposés, se salissent mélancoliquement. Mardi 24 janvier. Une bonne nouvelle, me dit ce soir, Charpentier chez Daudet: «Nous retirons LA FAUSTIN».

Samedi 11 février. Sarcey, dans une conférence sur LA FAUSTIN,

«Vous ignorez sans doute que j'ai publié, en 1882, sous le titre de LA FAUSTIN, une étude d'actrice tirée chez Charpentier

Ce soir, Mme Daudet me lit quelques notes d'un journal d'impressions, qu'elle rédige depuis trois ans. C'est de la littérature, délicate, aiguisée, raffinée. Au milieu de ces notes, il y a le récit de l'audition de mes trois derniers romans. LA FILLE ELISA, LES FRÈRES ZEMGANNO, LA FAUSTIN. Mme Daudet me lit ce récit, ou plutôt elle le commence, puis s'arrête et ne veut plus lire.

Vichy, avec son improvisation de bâtisses, de baraquements, de boutiques pour la grande saison, a quelque chose de la construction féerique d'une ville d'Amérique. J'ai voulu travailler au scénario de LA FAUSTIN, et j'ai été pris de tristesse, en me sentant, pour le moment, incapable d'en faire une pièce. Ce sentiment d'impuissance, c'est la première fois que je l'éprouve.

Aujourd'hui, Mme Segond-Weber m'est amenée par Montesquiou, venant me demander de jouer LA FAUSTIN; je suis frappé de sa beauté, de la fine ciselure de ses traits, de son pénétrant regard noir. Daudet est arrivé hier d'Angleterre, tout plein de vie et d'entrain, et, par ma foi, engraissé.