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Mis à jour: 30 juin 2025


Farenheit fit mine de s'emparer de la bouteille; Gontran se jeta, menaçant, devant lui. Mlle Ossipoff, d'abord, déclara-t-il. Soit, riposta l'Américain; mais qu'elle se hâte, alors, car je défaille. Comme M. de Flammermont tendait la main vers le précieux flacon.

Neptune n'est pas une planète française, mais bien anglaise. Fricoulet se redressa. Pourquoi pas américaine, pendant que vous y êtes? grommela-t-il. Parce qu'elle est anglaise, ayant été découverte par un Anglais. Lequel, s'il vous plaît? demanda l'ingénieur. Farenheit haussa les épaules. Vous m'en demandez trop, répondit-il. Fricoulet se mit

Admets cependant qu'au lieu d'enlever ta fiancée, ce coquin de Sharp soit parti tout seul. À cette supposition, Gontran poussa un soupir navrant. Hélas! dit-il. Seulement, poursuivit l'ingénieur, admets aussi qu'au lieu de tuer, avant son départ, ce pauvre sir Farenheit, ce soit moi que Sharp ait abattu.

De son côté, Fricoulet ne demeurait pas inactif; avec l'aide de Farenheit, il construisit un tonneau gigantesque, espèce de foudre d'une contenance de 2,000 litres, lequel fut cerclé au moyen de la plante qui servait

Est-il possible! balbutia-t-il, n'en pouvant croire ses oreilles. Regardez, dit simplement Fricoulet. Le vieillard se précipita vers un hublot. Nous arrivons!... nous arrivons!... cria-t-il... attention au choc. Farenheit courut

Je vous ai prié de monter, expliqua le vieillard, pour une raison que vous, savant, vous comprendrez; je n'ai pas voulu vous faire part de la singulière défaillance de cerveau dont je suis en ce moment victime, devant ce Farenheit et ce Fricoulet qui n'y entendent rien... Ah! cependant, protesta Gontran, Fricoulet est un garçon trop modeste pour n'être pas indulgent.

Prisonniers! exclama Jonathan Farenheit avec colère. Ossipoff lui posa la main sur le bras. Calmez-vous, cher monsieur Farenheit, dit-il avec un grand sang-froid, il y a un malentendu; dans la vie il ne s'agit que de s'expliquer. L'Américain haussa furieusement les épaules. S'expliquer? grommela-t-il, et comment voulez-vous vous expliquer avec ces sauvages qui ne parlent pas un mot d'anglais.

Cependant Farenheit donnait, depuis quelques instants, les signes d'une visible impatience: le visage collé au hublot, les regards fixés sur l'espace, il piétinait sur place, tandis que ses mains, croisées derrière le dos, se crispaient dans des contractions nerveuses. Et alors, dit-il en se retournant brusquement, nous allons marcher comme ça pendant 12 heures?

Farenheit se sentit le cœur étreint par une inexprimable angoisse;

C'est ici le moment de compléter les explications sommaires fournies par Jonathan Farenheit sur le départ de Sharp.

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