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Mis à jour: 20 juin 2025
«Vous savez que les Italiens passent pour vindicatifs et rancuniers, toujours divisés par familles ennemies et par factions rivales: ainsi furent autrefois et sont encore Guelfes et Gibelins, c'est-
On vit la reine soutenir successivement les deux factions qui désolaient la France quelquefois contre le roi, toujours contre son propre fils; en 1420, par le traité de Troyes, elle fait déshériter le dauphin, en faveur de sa fille promise au roi d'Angleterre, Henri V.
Car il est temps enfin que vous songiez que si le patriotisme et l'union de vos ancêtres fondèrent votre république, le mauvais esprit de vos factions, s'il continue, la perdra infailliblement; et il serait pénible de penser qu'
C'est sous ce point de vue, messieurs, que je vous prie de considérer la question de l'amnistie, sur laquelle je ne veux ajouter qu'un mot. Si l'amnistie, qui n'est pas actuellement une nécessité sociale, qui n'est pas commandée par la justice, si l'amnistie, qui ne peut être aujourd'hui qu'un acte de politique et de gouvernement, opportune tel jour et inopportune tel autre jour, si l'amnistie, dis-je, peut avoir lieu un jour sans affaiblir la puissance publique, sans donner courage aux factions, sans troubler la tranquillité des esprits, car la première condition de la force du gouvernement, c'est la sécurité des esprits, si l'amnistie peut avoir lieu
Vous n'etes pas digne, je suis contraint a vous le dire, d'etre le lieutenant de celui qui, par son zele et par sa clairvoyance, a su prevenir les suites desastreuses des differents complots diriges contre une vie precieuse... de celui qui se dresse comme une infranchissable barriere... comme un bouclier de diamant, monsieur, entre le chef de l'Etat et les perfides menees des factions... de celui qui s'est empare de Pichegru et de Moreau... de celui qui va s'emparer de Cadoudal aujourd'hui meme!
Que devenait alors la démocratie? Elle n'était pas précisément responsable de ces excès et de ces crimes; mais elle en était atteinte la première. Il n'y avait plus de règles; or, la démocratie ne peut vivre qu'au milieu des règles les plus strictes et les mieux observées. On ne voyait plus de vrais gouvernements, mais des factions au pouvoir.
Enfin, nous avons la guerre parce que l'Angleterre est sans roi, que ses conseils et son parlement sont divisés par des factions acharnées et puissantes, et que le ministère qui dirige les affaires est sans puissance d'opinion ou de talent.
«Je viens, lui dis-je, de la part de vos amis, savoir si la chose tient toujours pour demain, et recevoir vos instructions. La chose est remise au 18, me répondit-il le plus tranquillement du monde. Au 18, Général! Au 18. Quand l'affaire est éventée! Ne voyez-vous pas que tout le monde en parle? Tout le monde en parle, et personne n'y croit. D'ailleurs, il y a nécessité. Ces imbéciles du conseil des Anciens n'ont-ils pas des scrupules? ils m'ont demandé vingt-quatre heures pour faire leurs réflexions. Et vous les leur avez accordées! Où est l'inconvénient? Je leur laisse le temps de se convaincre que je puis faire sans eux ce que je veux bien faire avec eux . Au 18, donc. Venez demain prendre le thé; s'il y a quelque chose de changé, je vous le dirai: bonsoir.» Et il alla se coucher avec cet air de sécurité qu'il conservait sur le champ de bataille où il me semblait ne s'être jamais tant exposé qu'il s'exposait alors au milieu de tant de factions, par ce délai que rien ne put le déterminer
La République était-elle fondée sur des bases durables quand l'innocence tremblait pour elle-même, persécutée par d'audacieuses factions? On allait cherchant des recrues dans l'aristocratie, dénonçant comme des actes d'injustice et de cruauté les mesures sévères déployées contre les conspirateurs, et en même temps on ne cessait de poursuivre les patriotes. Ah! disait Robespierre, «l'homme humain est celui qui se dévoue pour la cause de l'humanité et qui poursuit avec rigueur et avec justice celui qui s'en montre l'ennemi; on le verra toujours tendre une main secourable
Celle ci, néanmoins, était fort menacée: gouvernée, dans l'origine, par des familles gibelines, Florence l'avait été ensuite par une aristocratie guelfe et populaire qui se divisa en deux factions. Celle des Blancs l'emporta. C'est ainsi que le Dante, qui appartenait
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