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Mis à jour: 2 mai 2025
Moi, dit Mistral, je clos par ce mot national: félibrige, félibrige! qui désignera l’oeuvre et l’association. Et, alors, Glaup reprit: Ce n’est pas tout, collègues! nous sommes les félibres de la loi... Mais, la Loi, qui la fait?
Mais, pour la conduire, il faut un tambourin. Or il paraît que le tambourin se meurt; et, si je n'ajoute pas: le tambourin est mort, c'est qu'afin de lui rendre quelque vie, nos bons félibres, sur l'initiative d'un des leurs, M. Claude Brun, pétitionnent et s'agitent pour obtenir l'ouverture d'une classe de tambourinaires au Conservatoire de Marseille.
L'année suivante lors de la Sainte-Agathe, fête votive de Maillane, je reçus la visite d'un poète de Paris que le hasard (ou, plutôt, la bonne étoile des félibres) amena,
L’Almanach Provençal pour le Bel An de Dieu 1855 parut la même année avec ses cent douze pages. A la première, en belle place, tel qu’un trophée de victoire, notre Chant des Félibres exposait le programme de ce réveil de sève et de joie populaire: Nous sommes des amis, des frères,
Il en faut pour le faire rire, Et il en faut pour lui chanter! Tous des amis, joyeux et libres, De la Provence tous épris, C’est nous qui sommes les félibres, Les gais félibres provençaux!
Tous des amis, joyeux et libres, De la Provence tous épris, C’est nous qui sommes les félibres, Les gais félibres provençaux! En provençal ce que l’on pense Vient sur les lèvres aisément. O douce langue de Provence, Voil
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