Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 25 juin 2025
Oh! que de lettres j'ai commencées pour toi sans pouvoir les finir... Grand Dieu! tu ne m'abandonnes pas dans mes derniers moments, et cette constance est le plus grand de tes bienfaits... Oui, Thérèse, je mourrai, lorsque j'aurai reçu la bénédiction de ma mère et les derniers embrassements de mon ami... C'est lui qui remettra
Nous ne décrirons pas les transports avec lesquels Anselme, Marguerite et leurs enfants se virent de nouveau réunis, la douceur de leurs embrassements, les questions se pressant, de part et d'autre, sur leurs lèvres: un tel tableau se présente de lui-même
Après ces premiers embrassements, miss Sedley montra
Mon père, ma mère et mes soeurs me reçurent avec les mêmes démonstrations de joie, j'étais le seul fils. Or sans être bien riche, ma famille jouissait d'une honnête aisance comme cultivateur. Après les premiers embrassements. "Il va falloir, me dit mon vieux père, bien te reposer mon enfant. Je t'ai acheté un beau fusil, un beau cheval est
Après avoir dit ces paroles avec une fausse douceur, il s'alla jeter avec un zèle encore plus faux aux pieds de son ennemi, et, les lui baisant, non seulement il lui demanda pardon, mais aussi, il alla ramasser son épée, son manteau et son chapeau, qui s'étaient perdus dans la confusion. Il les rajusta sur lui, et, l'ayant ramené par la main jusqu'au bout de la rue, se sépara de lui après lui avoir donné plusieurs embrassements et autant de bénédictions. Le pauvre homme était comme enchanté et de ce qu'il avait vu et de ce qu'on lui avait fait, et si plein de confusion qu'on ne le vit pas paraître dans les rues, tant que ses affaires le retinrent
Enfin, après le labeur de tant d'enfantements, cette épouse qui était accouchée le 27 avril 1727 de deux filles, le 28 juillet 1728 d'une troisième fille, le 4 septembre 1729 d'un dauphin, le 30 août 1730 d'un duc d'Anjou, le 23 mars 1732 d'une quatrième fille, cette épouse qui se sentait encore enceinte, lasse de son métier de mère pondeuse, recevait les embrassements de son mari, avec les répugnances d'une femme qui répétait toute la journée: «Eh quoi! toujours coucher, toujours grosse et toujours accoucher !»
A nuit close, en plein jour, elle est en proie ù l'idée fixe, elle voit sans cesse un profil divin, toujours le même, qui se dessine entre son oeil et la muraille. Sur les épaules de ses interlocuteurs elle aperçoit une tête qui n'est pas la leur, la tête de l'aimé. Cette image la hante, la possède: «Quelle fièvre avez-vous fait passer dans la moelle de mes os, esprits de la vengeance céleste? Quel mal avais-je fait aux anges du ciel pour qu'ils descendissent sur moi et pour qu'ils missent en moi, pour châtiment, un amour de lionne? Pourquoi mon sang s'est-il changé en feu et pourquoi ai-je connu, au moment de mourir, des embrassements plus fougueux que ceux des hommes? Quelle furie t'anime donc contre moi, toi qui me pousses du pied dans le cercueil, tandis que ta bouche s'abreuve de mon corps et de ma chair? Tu veux donc que je me tue? Tu dis que tu me le défends, et cependant que deviendrai-je loin de toi, si cette flamme continue
Pourquoi ne me laisses-tu pas la délier, Skythe, pour me jeter dans les embrassements et dans la couche d'une épouse? Si tu es si convoiteur de ces vieilles fesses, tu n'as qu'
Quelle faute ai-je commise pour qu'ils ne connaissent jamais les embrassements d'un père? ces aimables enfants au visage attrayant et doux, ombragé de longs cheveux bouclés, la bouche ouverte aux tendres sourires, quand entre leurs lèvres fraîches et vermeilles brillent deux rangées de perles pareilles aux boutons de jasmin qui vont éclore!»
Les derniers embrassements furent prodigués
Mot du Jour
D'autres à la Recherche