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Culte des astres, ou sabéisme 170 § III. Troisième système. Culte des symboles, ou idolâtrie 175 § IV. Quatrième système. Culte des deux principes, ou dualisme 187 § V. Culte mystique et moral, ou système de l'autre monde 193 § VI. Sixième système. Monde animé, ou culte de l'univers sous divers emblèmes 197

Parmi ces devises et ces emblèmes, gravés comme dans l'écorce des arbres et dans les murailles des geôles, ressortait en caractères plus grands la déclaration d'un amour sacrilège accompagnée des emblèmes d'une forfaiture sans appel aux yeux de la morale chrétienne: Daniel est

Notre-Dame de Paris est l'église de la monarchie; Notre-Dame de Reims, celle du sacre. Celle-ci est achevée, contre l'ordinaire des cathédrales. Riche, transparente, pimpante dans sa coquetterie colossale, elle semble attendre une fête; elle n'en est que plus triste, la fête ne revient plus. Chargée et surchargée de sculptures, couverte plus qu'aucune autre des emblèmes du sacerdoce, elle symbolise l'alliance du roi et du prêtre. Sur les rampes extérieures de la croisée batifolent les diables, ils se laissent glisser aux pentes rapides, ils font la moue

Ce mauvais succès d'une expédition coûteuse ne disposait pas favorablement les esprits; mais la présence du roi vint faire diversion. Il voulut visiter Gênes. A cette annonce on fit de grands préparatifs qui ne furent pas sans difficultés. Les fleurs de lis furent partout arborées; mais Ravenstein, en faisant repeindre le palais public et en y plaçant les emblèmes du roi, crut devoir supprimer les aigles qui l'avaient toujours décoré. Le peuple en murmura, soit que, tandis qu'on avait tant de fois éludé l'obéissance réclamée par les empereurs, on aimât encore

On voyait dans le Champ de Mars une multitude de soldats de province; des femmes et des enfants déguenillés, tenant des branches d'arbres; des hommes qui portaient des piques, des sabres, des emblèmes de la liberté, représentés en carton, et des écriteaux chargés des maximes de la liberté, au haut de bâtons peints aux trois couleurs.

Le fort, orné toujours de ses emblèmes chinois, de son écran de pierre et de son monstre, porte

Trois mois après (11 juillet 1791), les mêmes honneurs furent <p.130> rendus aux cendres de Voltaire, mais avec une pompe encore plus théâtrale. Ce fut la première de ces cérémonies imitées de l'antiquité, d'où le culte catholique se trouvait banni, et qui furent si communes pendant la révolution: char, musique, costumes, emblèmes, tout semblait emprunté aux Grecs et aux Romains. Le cortége partit des ruines de la Bastille, suivit les boulevards, stationna devant l'Opéra (théâtre de la porte Saint-Martin), passa par la place Louis XV, devant les Tuileries, sur le Pont-Royal, s'arrêta sur le quai des Théatins, devant la maison Voltaire était mort et se trouvait la nièce du grand homme avec les filles de Calas. De l

Que mes deux mains contre ton coeur Te soient, sur terre, Les emblèmes de la douceur. Vivons pareils

Les chars d'or étoilés de nacre Des grands pharaons d'autrefois Rasaient mon bloc heurté du fiacre Emportant le dernier des rois. Jadis, devant ma pierre antique, Le pschent au front, les prêtres saints Promenaient la bari mystique Aux emblèmes dorés et peints; Mais aujourd'hui, pilier profane Entre deux fontaines campé, Je vois passer la courtisane Se renversant dans son coupé.

Je monte sans hâte, éclairé par un soleil d'éblouissement et de mort. Oh! combien de symboles effroyables, échelonnés sur cette pénible route ascendante! Partout des monstres, des combats de monstres; partout le Naga sacré, traînant sur les rampes son long corps onduleux, et puis dressant en épouvantail ses sept têtes vipérines! Les Apsâras, qu'elles sont jolies et souriantes sous leurs coiffures de déesses, avec pourtant toujours cette expression de sous-entendu et de mystère qui ne rassure pas... Très parées, ayant des bracelets, des colliers, des bandeaux de pierreries, de hautes tiares pointues ou des touffes de plumes, elles tiennent entre leurs doigts délicats, tantôt une fleur de lotus, tantôt d'énigmatiques emblèmes; toutes celles que l'on peut atteindre en passant ont été si souvent caressées, au cours des siècles, que leurs belles gorges nues luisent comme sous un vernis, et ce sont les femmes qui, pendant les pèlerinages, les touchent passionnément pour obtenir d'elles la grâce de devenir mères. Dans leurs niches brodées de ciselures, elles demeurent adorables. Quel dommage que leurs pieds les déparent, toujours énormes, comme aux bas-reliefs de l'