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Mis à jour: 7 juillet 2025


Dix ans s'étaient écoulés depuis le mariage de Ghislaine; et ces dix années avaient passé pour elle comme pour son mari rapides, légères, embellies de tout ce que la fortune, la considération, l'élévation du rang peuvent donner de joies et de confiance. Elle aimait son mari d'un amour passionné. Le comte idolâtrait sa femme.

Les rues, embellies, depuis tant d'années, au point d'être méconnaissables, avaient leur mouvement paisible d'autrefois. Les passants y vaquaient sans hâte

Sous la conduite d'un vigoureux paysan, les trois amis entrèrent dans une chambre longue et basse, dont les murailles étaient embellies d'une ribambelle de vieux portraits et d'images grossièrement coloriées, et dont le plancher était semé d'une multitude de chaises de cuir, d'une forme fantastique, au dos gigantesque. A l'extrémité de la salle une table se faisait remarquer par la blancheur éblouissante de sa nappe. Elle était décorée d'une volaille dodue, d'un jambon appétissant, d'un pot d'ale fraîche, etc. Et c'est

La réception des corps de l'état terminée, il y eut une grande audience dans les appartemens du palais; les réponses de l'Empereur répétées et embellies avaient produit la plus profonde sensation: les mots si long-tems méconnus et proscrits dans cette enceinte, ces mots de gloire nationale, de liberté, de patrie, retentissaient de toutes parts. Lorsque les émigrés reparurent et que les plus illustres serviteurs de l'état furent expulsés, pour faire place

Elle se souvient de Florence; de son carnaval esthétique avec ses troupes de jeunes hommes, vêtus de velours et de soie, qui passaient et repassaient en chantant des odes et des satires; des cortèges solennels et des réceptions princières , ces grands jours de décoration improvisée, , avec du bois, du plâtre et de la couleur, les rues et les places de la ville étaient transformées, égayées, embellies par le génie inventif et l'imagination joyeuse de la foule des architectes, des sculpteurs et des peintres.

Sa lunette, pendant les courtes embellies, le parcourait obstinément. Ces flots muets, il semblait les interroger. Cette brume qui voilait l

Ici les femmes savent comme nous quel est le but de la vie. A Paris seulement, elles sont déesses, adorées bien plutôt qu'aimées, et aussi elles ont la confiance et le respect de leur divinité. Sans cesse embellies et lavées

Tout cela, très vite, est tombé. Les besognes embellies un moment par l'imagination sont rapidement devenues machinales, routinières. Les paysages, les spectacles variés offerts par la nature, ont cessé de présenter aucun intérêt. L'illusion s'en est allée, la réalité demeure. Ou bien, qui sait si ce n'est point la réalité qui s'en va et l'illusion qui demeure? L'illusion compacte, sournoise, qui a pris corps et s'affirme en certitude triomphante, qui s'incarne en les mille aspects de la banalité, en les cent mille figures de la laideur? Qui siffle, geint, ricane et pleurniche partout, froid et gluant mensonge attiédi et solidifié par les temps, les temps d'ignorance, les temps de sottise, les temps de lâcheté... N'est-ce pas une réalité, cette France qu'on rêve, d'où seraient bannies la superstition et toutes les misères qu'elle entraîne, personne ne connaîtrait la faim, et chacun connaîtrait la joie, qui serait comme un grand jardin, et qui serait la Belle France? Et n'est-ce pas une illusion, une imposture, un cauchemar, que la France qui existe? La France des grandes villes, avec sa population affamée, soularde et fanfaronne, avec ses décors de fausse richesse et de gloire en toc encadrant la lamentable agonie des volontés populaires, la défaillance calamiteuse de l'art. La France des campagnes, avec la tristesse de ses bourgs et la désolation de ses villages; ses terres en friche ou cultivées

«Ces nuits si calmes et silencieuses que les battements du coeur deviennent audibles, ces nuits sont embellies par la fantastique décoration de la lumière se jouant

Il n'y eut jamais d'enfance ni de jeunesse plus abandonnées, plus attristées, plus monotones que celles d'Emily et de ses quatre soeurs. Pas une de ces petites aventures heureuses ou quelque peu inattendues qui, agrandies et embellies ensuite par les années, forment au fond de l'âme le seul trésor inépuisable de la mémoire souriante de la vie. Depuis le premier jour jusqu'au dernier, le lever, les soins du ménage, les leçons, le travail aux côtés d'une vieille tante, les repas, les promenades, la main dans la main, et presque toujours silencieuses, des graves petites filles sur la bruyère en fleurs ou couverte de neige. Au logis, l'indifférence absolue d'un père qu'on ne voyait presque jamais, qui prenait ses repas dans sa chambre, et ne descendait que le soir pour lire

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