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Mis à jour: 16 juin 2025
Mes dernières lettres n'étaient remplies que de mes chagrins, de mes regrets, de mon abattement, parce que mon cœur se répand quand je vous écris; et pourtant je n'ai pas tout dit, car je n'ai jamais tout pensé. Dans la convalescence de ma mère, je lui ai lu plus de soixante numéros de la Gazette. Vous ne me plaindrez peut-être pas d'avoir subi si longtemps, dans le milieu du cœur, ce petit supplice renouvelé de Saint-Sébastien! Je n'ai ni l'âme d'un ange, ni celle d'un héros, votre inconnue n'est qu'une simple femme; elle n'a pu recevoir sans blessure tant de traits acérés; elle n'est point demeurée invulnérable
Si elle l'était trop, faites-lui le soir un lait d'amande, vous avez ce petit talent; mettez y quelques gouttes d'eau de fleurs d'oranger, et une demi-once de sirop de gomme. Maurice lit donc bien? Cela me fait plaisir, c'est pourquoi je lui écris. Je ne peux vous en dire davantage, le temps me presse. Ma santé se maintient bonne, et, d'ailleurs, je suis en humeur de chanter le Nunc dimittis.
Je vous écris en courant; je quitte la ville et vais m'installer
Paris, 10 décembre 1694. Je viens de passer encore quinze jours sans vous écrire; mais je garde mes excuses pour quand je vous écris; car mes lettres ne peuvent être que tristes et ennuyeuses; je perds tous mes amis et amies. La mort du maréchal de Bellefond m'a donné une véritable douleur; je suis la dernière visite qu'il ait faite; je le vis en parfaite santé, et six jours après il étoit mort: on dit que c'est d'un abcès dans le genou, et que si l'on le lui avoit percé, on lui auroit sauvé la vie; mais vous n'êtes pas la dupe de ces sortes de repentirs: il faut partir quand l'heure est venue; sa famille est dans une désolation digne de pitié; pour moi, je sens très-vivement cette perte: ajoutez
«C'est encore moi qui vous écris, bien que le premier billet que je vous ai envoyé, voici des semaines, soit demeuré sans réponse. J'ai trop compris ce que signifiait ce silence, et vous savez avec quel scrupule j'ai respecté votre volonté. Vous savez aussi, vous ne pouvez pas ne pas savoir qu'entre mon premier billet et celui-ci des rencontres ont survenu, dont je ne chercherai pas
Lisez, mon amie; quand vous aurez lu, vous comprendrez. Je n'ai pas le courage de vous raconter le malheur qui nous frappe... Je vous aime, Fernande! En cet instant où je vous écris, je suis bien désespéré, et j'ai des sanglots au cœur. Je n'ai jamais aimé, et je n'aimerai jamais que vous. Mais je suis de ceux qui tiennent leur serment, dussent-ils en mourir.
»Je ne vous écris pas longuement aujourd'hui, mon prince parce que je pense que vous serez bien aise de recevoir des premiers des nouvelles de la séance de ce jour....» LE PRINCE DE TALLEYRAND A LA PRINCESSE DE VAUD
9 avril, villa Mondragone. Je vous écris au crayon dans des ruines. Toujours des ruines! J'aime beaucoup l'endroit où je suis; j'y peux passer la journée entière dans un immense palais abandonné, dont j'ai les clefs
Je vous écris la présente pour vous faire connaître que je suis venu dans la Palestine pour en chasser les mameloucks et l'armée de Djezzar-Pacha.
»Je vous écris cette longue tirade, parce que je ne voudrais pas vous laisser supposer que je me moque de propos délibéré de vous ou de qui que ce fût. Si vous avez cette idée, au nom de saint Hubert, patron des chasseurs et des bêtes
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