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Mis à jour: 19 juillet 2025
«Dufresnoy, tout en copiant les maîtres, s'attachait particulièrement
Les savants et les gens de lettres étaient représentés par Gabriel Naudé, d'abord secrétaire du cardinal de Bagni, et, ensuite, pendant très-peu de temps, du cardinal Francesco Barberini; par Jean-Jacques Boucard, l'ami, le correspondant de Peiresc, dont il prononça l'oraison funèbre en latin devant l'académie des Lincei, le 21 décembre 1637; enfin, par Dufresnoy, peintre médiocre, mais poète latin distingué, qui, pendant son long séjour en Italie, s'inspira de la vue des chefs-d'oeuvre des plus grands maîtres, pour composer son poëme de la Peinture. Il était très-lié, depuis sa jeunesse, avec Pierre Mignard, qui,
L'élégie, cultivée avec succès par Mesdames Dufresnoy et Victoire Babois, recevait de Millevoye un caractère nouveau et des couleurs variées. La carrière se ferma trop tôt devant ce poète, amoureux de la perfection, qui a peu écrit et beaucoup travaillé.
J'avais fermé ma porte; j'étais assise, la tête sur mes deux mains, en face d'une énorme glace; il y avait sur la table un volume des belles poésies de madame Dufresnoy; en lisant cette lettre, cette déclaration d'un amour dont la sincérité ne pouvait m'être suspecte, tout mon être sembla se bouleverser: «Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.»
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