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Mis à jour: 31 mai 2025
Il parla ainsi, et tous restèrent muets, accablés de ce discours et de ces dures paroles. Et les fils des Akhaiens restèrent longtemps muets et tristes. Enfin, Diomèdès hardi au combat parla ainsi: Très illustre roi des hommes, Atréide Agamemnôn, plût aux dieux que tu n'eusses point supplié l'irréprochable Pèléide, en lui offrant des dons infinis! Il avait un coeur orgueilleux, et tu as enflé son orgueil. Laissons-le; qu'il parte ou qu'il reste. Il combattra de nouveau quand il lui plaira et qu'un dieu l'y poussera. Allons! faites tous ce que je vais dire. Reposons-nous, puisque nous avons ranimé notre âme en buvant et en mangeant, ce qui donne la force et le courage. Mais aussitôt que la belle
Il parla ainsi et Diomèdès, se couvrant les épaules de la peau d'un grand lion fauve, prit une lance, courut éveiller les deux rois et les amena. Et bientôt ils arrivèrent tous au milieu des gardes, dont les chefs ne dormaient point et veillaient en armes, avec vigilance.
Alors, Diomèdès, le devançant, poussa ses chevaux aux sabots massifs, bien au-del
Et Diomèdès hardi au combat tua Axylos Teuthranide qui habitait dans Arisbè bien bâtie, était riche et bienveillant aux hommes, et les recevait tous avec amitié, sa demeure étant au bord de la route. Mais nul alors ne se mit au-devant de lui pour détourner la sombre mort. Et Diomèdès le tua, ainsi que son serviteur Kalésios, qui dirigeait ses chevaux, et tous deux descendirent sous la terre.
Et l'intrépide et robuste Diomèdès lui répondit: Misérable archer, aussi vain de tes cheveux que de ton arc, séducteur de vierges! si tu combattais face
Il parla ainsi, et le brave Diomèdès ne répondit rien, plein de respect pour le roi vénérable. Mais le fils de l'illustre Kapaneus répondit
Et le brave Diomèdès, le regardant d'un oeil sombre, lui répondit: Ne parle point de fuir, car je ne pense point que tu me persuades. Ce n'est point la coutume de ma race de fuir et de trembler. Je possède encore toutes mes forces. J'irai au-devant de ces guerriers. Pallas Athènè ne me permet point de craindre. Leurs chevaux rapides ne nous les arracheront point tous deux, si, du moins, un seul en réchappe. Mais je te le dis, et souviens-toi de mes paroles: si la sage Athènè me donnait la gloire de les tuer tous deux, arrête nos chevaux rapides, attache les rênes au char, cours aux chevaux d'Ainéias et pousse-les parmi les Akhaiens aux belles knèmides. Ils sont de la race de ceux que le prévoyant Zeus donna
Et Diomèdès hardi au combat lui répondit: Oui, vieillard, tu as dit vrai, et selon la justice; mais une amère douleur envahit mon âme. Hektôr dira, haranguant les Troiens: Le Tydéide a fui devant moi vers ses nefs! Avant qu'il se glorifie de ceci, que la terre profonde m'engloutisse! Et le cavalier Gérennien Nestôr lui répondit: Ah! fils du brave Tydeus, qu'as-tu dit?
Et le dieu fut blessé, et la pique, ramenée en arrière, déchira sa belle peau, et le féroce Arès poussa un cri aussi fort que la clameur de dix mille guerriers se ruant dans la mêlée. Et l'épouvante saisit les Akhaiens et les Troiens, tant avait retenti le cri d'Arès insatiable de combats. Et, comme apparaît, au- dessous des nuées, une noire vapeur chassée par un vent brûlant, ainsi Arès apparut au brave Tydéide Diomèdès, tandis qu'il traversait le vaste Ouranos, au milieu des nuages. Et il parvint
Il parla ainsi, et le cavalier Gérennien Nestôr lui obéit. Et les deux braves serviteurs, Sthénélos et Eurymédôn, prirent soin de ses cavales. Et les deux rois montèrent sur le char de Diomèdès, et Nestôr saisit les rênes brillantes et fouetta les chevaux; et ils approchèrent. Et le fils de Tydeus lança sa pique contre le Priamide qui venait
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