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Mis à jour: 27 juin 2025
Scheherazade, en cet endroit, s'apercevant qu'il était jour, et sachant que le sultan se levait de grand matin pour faire sa prière et tenir son conseil, cessa de parler. Bon Dieu! ma sœur, que votre conte est merveilleux, dit alors Dinarzade. La suite en est encore plus surprenante, répondit Scheherazade, et vous en tomberiez d'accord, si le sultan voulait me laisser vivre encore aujourd'hui et me donner la permission de vous la raconter la nuit prochaine. Schahriar, qui avait écouté Scheherazade avec plaisir, dit en lui-même: J'attendrai jusqu'
Si vous ne dormez pas, ma soeur, s'écria Dinarzade le lendemain avant le jour, je vous supplie de continuer l'histoire du premier calender. Schahriar ayant aussi témoigné
Dinarzade, toujours soigneuse d'éveiller sa sœur, l'appela cette nuit
Dinarzade avait tant d'envie d'entendre la fin de l'histoire du jeune prince, qu'elle se réveilla cette nuit plus tôt qu'
Dinarzade, qui prenait toujours un plaisir extrême aux contes de la sultane, la réveilla vers la fin de la nuit suivante. Ma chère soeur, lui dit-elle, si vous ne dormez pas, poursuivez, je vous en conjure, l'agréable histoire des calenders.
Sur la fin de la cinquième nuit, Dinarzade appela la sultane et lui dit: «Ma chère soeur, si vous ne dormez pas, je vous supplie, en attendant le jour qui paraîtra bientôt, de reprendre la suite de ce beau conte que vous commençâtes hier.» Scheherazade, après en avoir obtenu la permission de Schahriar, poursuivit de cette manière: Sire, le premier vieillard qui conduisait la biche, continuant de raconter son histoire au génie, aux deux autres vieillards et au marchand: «Je pris donc, leur dit-il, le couteau, et j'allais l'enfoncer dans la gorge de mon fils; lorsque tournant vers moi languissamment ses yeux baignés de pleurs, il m'attendrit
Ma chère soeur, dit alors Dinarzade, je suis bien obligée au sultan; c'est
Dinarzade se dédommagea cette nuit de la précédente: elle se réveilla longtemps avant le jour, et appelant Scheherazade: «Ma soeur, lui dit-elle, si vous ne dormez pas, je vous supplie de nous raconter la suite de l'histoire du pêcheur et du génie; vous savez que le sultan souhaite autant que moi de l'entendre. Je vais, répondit la sultane, contenter sa curiosité et la vôtre.» Alors, s'adressant
Sur la fin de la nuit suivante, Dinarzade appela la sultane: Au nom de Dieu, ma soeur, lui dit-elle, si vous ne dormez pas, je vous supplie de continuer le conte de ces trois belles filles; je suis dans une extrême impatience de savoir qui frappait
Dinarzade, le lendemain, ne manqua pas de réveiller la sultane
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