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Mis à jour: 29 juin 2025


En 1776, j'habitais Dijon; j'y faisais un cours de droit en la faculté; un cours de chimie sous M. Guyton de Morveau, pour lors avocat-général, et un cours de médecine domestique sous M. Maret, secrétaire perpétuel de l'Académie, et père de M. le duc de Bassano. J'avais une sympathie d'amitié pour une des plus jolies personnes dont ma mémoire ait conservé le souvenir.

Dijon, janvier 1847. Mon réengagement est signé d'hier. Je ne veux pas tarder, chère belle,

Cette fois, l'Académie de Dijon ne couronna pas le discours de Rousseau. Si «éclairée» qu'elle fût, ce n'est pas ce discours qu'elle avait espéré.

Je partis bientôt pour Dijon, mon père m'envoya pour achever mon éducation, et, malgré mon uniforme, mes épaulettes et mon épée, je fus mis en pension, avec cinq ou six jeunes gens, chez un bon chanoine de Saint-Jean, appelé l'abbé Rousselot, brave et galant homme; il avait pour soeur une vieille fille, digne personne dont la tendresse pour moi était celle d'une mère.

Mais il le fut, lorsqu'on apprit que la revue de Dijon n'était qu'un prétexte, que le voyage

Le notaire de Dijon hocha vivement la tête; il avait compris. Cependant, sa dame considérait le trône, un fauteuil un peu plus haut que les autres, garni d'une housse et placé sur une large marche. Elle restait

L'année était pourtant médiocre et non pas mauvaise. La misère était grande; on peut le croire après Louis XV et Terray. Turgot avait ouvert des ateliers de charité. Il n'y avait de disette nulle part. À Dijon, des troubles éclatent contre un magistrat accusé d'être du Pacte de famine. Mouvement populaire qu'on imita ici assez habilement. Des agents (que Turgot crut ceux du prince de Conti) ameutèrent des masses crédules, les poussèrent au pillage. Ils criaient la famine, et ils crevaient les sacs, ils jetaient les blés

Heureusement, il avait plus de peur que de mal, son chapeau, d'ailleurs fendu en deux, ayant amorti le choc. Néanmoins il saignait d'une coupure superficielle et il pleurait en nous disant: J'arrive de Dijon!... Je viens voir mes enfants, rue Saint-Honoré... Je ne sais même pas ce qui se passe... Je descends de l'omnibus et je reçois un coup de sabre!...

Torrent qui parcourait autrefois Dijon

J'aime Dijon comme l'enfant sa nourrice dont il a sucé le lait, comme le poète la jouvencelle qui a initié son coeur. Enfance et poésie! Que l'une est éphemère, et que l'autre est trompeuse! L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse, et la poésie est semblable

Mot du Jour

n'usait

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