Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 18 juin 2025
Lorsque le laboureur, regagnant sa chaumière, Trouve le soir son champ rasé par le tonnerre, Il croit d'abord qu'un rêve a fasciné ses yeux, Et, doutant de lui-même, interroge les cieux. Partout la nuit est sombre, et la terre enflammée. Il cherche autour de lui la place accoutumée Où sa femme l'attend sur le seuil entr'ouvert; Il voit un peu de cendre au milieu d'un désert. Ses enfants demi-nus sortent de la bruyère, Et viennent lui conter comme leur pauvre mère Est morte sous le chaume avec des cris affreux; Mais maintenant au loin tout est silencieux; Le misérable écoute, et comprend sa ruine. Il serre, désolé, ses fils sur sa poitrine; Il ne lui reste plus, s'il ne tend pas la main, Que la faim pour ce soir, et la mort pour demain. Pas un sanglot ne sort de sa bouche oppressée; Muet et chancelant, sans force et sans pensée, Il s'asseoit
Madame Letermillé portait une robe ouverte en carré sur son cou de blonde; elle croisait les jambes dans une attitude familière, et entrelaçait ses doigts sur le genou en tendant ses bras demi-nus. Elle disait: Je m'en doutais! vous l'épouserez... Ce n'est pas elle qui le demande, répondait Philibert; mais pour la petite, cela vaudra mieux. Avouez que vous l'aimez.
Il y eut en France toute une génération de Malvina, d’Oscar et de Selma. Sous le Directoire, on voyait dans les nuits froides et orageuses, au milieu du Bois de Boulogne, des bommes demi-nus, assis autour de feux druidiques . En 1804, Charles Nodier composait les Essais d’un jeune barde.
Certes, ils avaient raison tous ceux qui avaient prétendu que c'était une pauvre rue privée d'air et de lumière. Elle décrivait une courbe, était bordée d'affreuses bicoques, pavée d'immondices et remplie d'une population grouillante d'enfants demi-nus et de femmes en haillons. La plupart des maisons n'avaient pas de portes et on y pénétrait par une échelle dressée contre la croisée.
Des équipes de cyclopes demi-nus, armés d'un long crochet de fer, s'y livraient avec activité.
Mais ce sont les atmosphères tristes qui dominent, des ciels comme voilés encore par les fumées des incendies, d'autres blafards comme des suaires, éclairant des scènes indicibles, villages en ruines, pauvres morts héroïques injuriés par les animaux faméliques, pour n'avoir pas été enterrés assez profond, ou maltraités encore, après la fin suprême, par les vivants, traînés comme de la chair vile, demi-nus, derrière quelque chariot dont la moisson de cadavres est déj
Ceux-ci, presque tous riches et titrés, arrivaient dans leurs voitures armoriées, se faisaient descendre et porter par leurs laquais, et ces colis de nouvelle espèce, renfermés dans des pelisses de fourrures ou dans des mantes de satin, n'étaient pas une mince consolation pour ces malheureux affamés et demi-nus, qui guettaient
A l'est, le Londres commerçant, laborieux, les docks, les bassins gigantesques où les Indes et le monde entier versent nuit et jour leurs richesses et leurs produits. A l'est encore, les quartiers misérables, les enfants demi-nus, les femmes en haillons, les mendiants grouillant au seuil des portes, les maisons noires et humides, les tavernes où la débauche et la misère boivent de compagnie.
Et c'est un enchantement de regarder au dehors! Si la végétation de la forêt noyée, sur laquelle nos yeux s'étaient fermés, rappelait celle de nos climats, ici la plus extravagante flore tropicale s'éploie en toutes sortes de palmes, de grandes plumes vertes, de grands éventails verts. Nous sommes devant un village, sur une petite rivière aux berges de fleurs. A travers les roseaux, le soleil levant jette partout ses flèches d'or. Des maisonnettes de chaume, sur pilotis, s'alignent le long d'un sentier de sable fin. Des gens demi-nus, sveltes, aux torses cuivrés, circulent parmi la verdure. Ils passent et repassent, un peu pour nous voir, mais les regards sont discrets, souriants et bons. Les fleurs embaument: une odeur de jasmin, de gardénia, de tubéreuse. Dans la pure lumière qui renaît, ce naïf va-et-vient matinal semble une scène des vieux âges où l'homme avait encore la tranquillité. Et puis, habitués comme nous l'étions
Et dans ce dédale de rues, égales de largeur et de longueur, toute une armée de mineurs demi-nus s'agitant, causant, travaillant
Mot du Jour
D'autres à la Recherche