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Mis à jour: 26 juin 2025
Oh?... je sais bien, poursuivait Toto, que j'ai une bonne tête avec mes habits, mais cela vient de ce que je n'en ai pas l'habitude. La belle malice! On s'y fera bien vite. S'il le faut, je me payerai des leçons d'un maître de danse pour ressembler
Bon courage, monsieur Benoist; Qui peut savoir où le vent file? Rêve de femme est plus subtil; Prends ta canne de bois Des îles. Que femme au retour crie ou danse, Bon courage, Monsieur Benoist; Que femme au retour crie ou danse, Prends ta pipe, Monsieur Benoist. Prends ta pipe de bois De France.
Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la Reîne de la Fête, que je vais décrire.
Mais où prendrai-je cette eau qui danse? repartit Belle-
Vous voyez qu'elle a dansé pour moi, votre fille. Approchez, Salomé! Approchez, afin que je puisse vous donner votre salaire. Ah! je paie bien les danseuses, moi. Toi, je te paierai bien. Je te donnerai tout ce que tu voudras. Que veux-tu, dis? SALOM
A peine en route, la gaîté de la lumière, du mouvement, la prit, et elle fut distraite des pensées noires par sa jeunesse et par les choses qui l'entouraient, par la danse des mouissales et des oestres, dont les ailes vibrantes l'accompagnaient d'une musique fine, qui semblait la voix même de la lumière.
A ses yeux, la pureté et l'impureté sont comme la danse des six nagas; A ses yeux, la recherche de la voie de Buddha est semblable
«Tu connais madame X...?» me dit-il. Il me nommait une personne dont on parlait un peu dans le monde où quelquefois j'accompagnais ma tante. Il n'était que très naturel qu'Olivier lui eût été présenté, et naïvement je le lui dis. «Précisément, ajouta-t-il, j'ai dansé un soir de cet hiver avec elle, et depuis...»
Mon amour, je ne puis t'aimer: le jour éclate Comme un blanc incendie, au mont des aromates! Le gazon, telle une eau, fraîchit au fond des bois: Un délire sacré m'entraîne loin de toi. Cette odeur de soleil étreignant la prairie, Ce doux hameau, cuisant comme une poterie, Avec ses toits de brique, ardents, pourpres, poreux, Et le calme palmier de Bethléem près d'eux, Cette abeille qui danse, ivre, imprudente et brave, Dans les bleus diamants de la chaleur suave, Me font un corps céleste, aux dieux appareillé! L'aigu soleil extrait des fentes du laurier, Des étangs sommeillants où le serpent vient boire, Une opaque senteur qui semble verte et noire. L'été, de tous côtés sur le temps refermé, Noie de lueurs l'azur, étale et parfumé; La montagne bleuâtre a l'aspect héroïque Du bouclier d'Achille et des guerriers puniques, Et je me sens pareille
Mon plan fut bientôt tracé. Laissant Strauss s'occuper de son orchestre de danse destiné
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