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Les peuples d'Achim sont fiers et paresseux; ceux qui n'ont point d'esclaves en louent un, ne fût-ce que pour faire cent pas, et porter deux pintes de riz: ils se croiraient déshonorés s'ils les portaient eux-mêmes. Voyez Dampier, t. Il y a plusieurs endroits de la terre l'on se laisse croître les ongles pour marquer que l'on ne travaille point.

On ne doit pas oublier, dans la description de l'île de Sal, l'oiseau que les Portugais ont nommé flamingo ou flamant, et la forme de leurs nids, d'après Dampier, qui avait vu plusieurs de ces animaux. C'est le phénicoptère des anciens. Ils ont

Le coton y croît aussi, et reçoit plus de culture que dans les autres îles, puisque Dampier assure que les habitans en recueillent assez pour se faire des habits, et pour en faire passer une grande quantité au Brésil. Il dit aussi que la rivière de San-Iago prend sa source

Dampier a décrit la manière de faire et de charger le sel, avec un détail plus exact qu'on ne le trouve dans aucun autre voyageur. À l'ouest, c'est-

Les principaux fruits de l'île sont les figues, les melons d'eau; mais Dampier dit que les figuiers y ont si peu d'écorce, que le fruit en devient fort insipide. Les Nègres s'y nourrissent de citrouilles et d'une sorte de légumes semblables aux fèves qu'ils nomment callavance.

Cowley rend témoignage que de son temps les vaisseaux anglais venaient souvent charger du sel pour les Indes occidentales, et que les salines y avaient alors environ deux milles de longueur. Dampier dit que, vers la pointe sud-est, près d'une côte sablonneuse, on comptait de son temps soixante-douze mines de sel.

Ils n'ont pas plus d'honnêteté et de bonne foi dans le commerce. Dampier déclare que, si les marchandises d'un étranger passent dans leurs mains avant qu'il ait reçu la leur, il est sûr de perdre ce qui est sorti des siennes. À peine peut-il s'assurer que ce qu'il a reçu d'eux ne lui sera point enlevé. Beckman parle d'une friponnerie qui leur est fort ordinaire dans la vente de leurs bestiaux. Ils les amènent par les cornes ou par les jambes avec une corde pourie. Lorsqu'ils en ont reçu le prix, suivant les conventions, et qu'ils les ont délivrés, ils se retirent

À dix, répondit Robert. Bien, reprit Paganel, je fais une croix, et je passe aux anglais. En 1686, un chef de boucaniers, un frère de la côte, un des plus célèbres flibustiers des mers du sud, Williams Dampier, après de nombreuses aventures mêlées de plaisirs et de misères, arriva sur le navire le Cygnet au rivage nord-ouest de la Nouvelle Hollande par 16 degrés 50 de latitude; il communiqua avec les naturels, et fit de leurs moeurs, de leur pauvreté, de leur intelligence, une description très complète. Il revint, en 1689,

Dampier raconte que, malgré les montagnes de Saint-Nicolas et la stérilité de ses côtes, il y a au centre de l'île des vallées les Portugais ont leurs vignobles et leurs plantations, avec du bois pour le chauffage. Le terroir, suivant Roberts, est fertile pour le maïs, pour les bananes, les courges, les melons d'eau et musqués, les limons, les citrons et les oranges. On y voit quelques cannes

Dampier en vit de malades, de vieilles ou estropiées, se tenant sur les écueils qui semblaient leurs Invalides, levant des contributions sur les jeunes fous, leurs vassaux, et se nourrissant de leur pêche. Mais, dans leur état de force, elles ne posent guère