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Mis à jour: 18 juillet 2025


C'est un oubli; il y a bien des oublis dans l'Emile, parce que, comme toujours, Rousseau écrivait son livre avec ses sentiments et son humeur, autant et peut-être plus qu'avec sa raison. Il a écrit comme le reste, avec son orgueil et avec son esprit romanesque. Il y a, disais-je, oublié bien des choses; il ne s'y est pas oublié lui-même. Cette éducation sentimentale, libre (ou qu'il croit libre), vagabonde, pleine d'incidents et d'épisodes, nullement didactique, et toute personnelle, et comme spontanée, c'est la sienne, dont il se souvient, et dont il est fier. Il est fier de n'avoir pas été instruit, de s'être instruit lui-même, dans le plus grand désordre du reste, sans contrainte, en plein caprice, et d'avoir, comme il le croit, ne recevant rien, tout inventé. Ce n'est pas lui que la société a parqué, que la famille a lié, que l'éducation traditionnelle a déformé; et quel grand homme est sorti de cette éducation sans enseignement, vous le savez! Cette vie de jeunesse si féconde (et, sans raillerie, elle l'a été, mais parce que l'homme avait du génie), il en fait celle de son cher Emile; il se borne, en sa faveur,

Trente-six châteaux démolis ou brûlés dans une seule province; en Languedoc, un M. de Barras coupé par morceaux devant sa femme enceinte et prête d'accoucher; en Normandie, un vieillard paralytique jeté sur un bûcher ardent, et tant d'autres excès commis, étoient ou passés sous silence dans l'Assemblée, ou traités d'épisodes, si quelqu'un les y dénonçoit.

M. Lureau-Vélin éveillait le souvenir d'épisodes romanesques se trouvaient justement mêlées des somptuosités de paysages; il évoquait de grands poètes, depuis Chateaubriand jusqu'

C'est un cours de littérature abrégé et résumé en vers froids, secs, d'une admirable concision, mais d'une pénible lecture. La grâce et la mollesse, caractère des écrits d'Horace, ne pouvaient avoir leur place dans un sujet didactique; les préceptes dénués de descriptions et d'épisodes n'appartiennent pas

«Faut-il me rendre malheureux parce qu'une femme méprisable a commis une erreur? Je ne suis ni le premier ni le dernier dans cette situationEt, sans parler de l'exemple historique que la belle Hélène venait de rafraîchir récemment dans toutes les mémoires, Alexis Alexandrovitch se souvint d'une série d'épisodes contemporains des maris de la position la plus élevée avaient eu

Je n'ai pas la prétention de donner une nouvelle définition de cette poésie, dont la véritable nature a été pourtant bien méconnue. Aujourd'hui cependant on est assez d'accord pour reconnaître que ce qui la constitue, ce n'est ni la longueur d'un récit versifié, ni sa division en vingt-quatre ou douze chants, ni une machine pleine de merveilleux, ni (comme les rêves dans la tragédie) une superfétation d'épisodes. A mes yeux, ce qui la caractérise, ce qui en forme l'essence, c'est un sentiment de fraîcheur et de jeunesse, une naïveté séduisante de pensée et d'exécution, et avant tout, comme je viens de le dire, une inspiration collective et impersonnelle, qui lui communique l'empreinte d'une race, d'un peuple,

Il est vrai que, dans cette immense galerie de supplices, on ne rencontre pas assez d'épisodes; et, malgré la brièveté des chants, qui sont comme des repos placés de très-près, le lecteur le plus intrépide ne peut échapper

Ces trois actions principales, et cette foule d'épisodes qui les entrecoupent, sont, on le voit bien, des imitations du plan de l'Arioste, que Bernardo se proposa d'imiter en tout; mais quelque intéressantes que soient les premières, elles ont le défaut d'être toutes trois

Dans la Divine Comédie, au contraire, il n'y a, comme on voit, ni unité de personnages, ni unité d'action; c'est une succession d'épisodes sans rapport les uns avec les autres, l'intérêt se noue et se brise

Tout cela est admirable et, dans les historiens les plus renommés de l'antiquité, je ne sais pas beaucoup d'épisodes qui vaillent celui-ci. Une citation encore, non moins intéressante quoique d'un genre différent: «Vérité fut selon la fame (renommée) qui courait, que le roi de Navarre (Charles-le-Mauvais), du temps qu'il se tenait en Normandie et que le roi de France (Charles V) était duc de Normandie, il le voulut faire empoisonner; et reçut le roi de France le venin; et fut si avant mené que tous les cheveux de la tête lui churent, et tous les ongles des pieds et des mains, et devint aussi sec qu'un bâton, et n'y trouvait-on point de remède. Son oncle, l'empereur de Rome, ouït parler de sa maladie; si (or) lui envoya tantôt et sans délai un maître médecin qu'il avait de lez (près de) lui, le meilleur maître et le plus grand en science qui fût en ce temps au monde, ni que on sût ni connût, et bien le voyait-on par ses oeuvres. Quand ce maître médecin fut venu en France de lez le roi, qui lors était duc de Normandie, et il eut la connaissance de sa maladie, il dit qu'il était empoisonné et en grand péril de mort. Si fit adonc, en ce temps, de celui qui puis fut roi de France, la plus belle cure dont on put ouïr parler; car il amortit en tout ou en partie le venin qu'il avait pris et reçu; et lui fit recouvrer cheveux et ongles et santé, et le remit en point et en force d'homme parmi ce que, tout petit

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