Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 13 mai 2025


Monsieur le duc d'Otrante, les services que vous nous avez rendus dans les différentes circonstances qui se sont présentées, nous portent

Après la paix de Lunéville, la France pouvait tomber de tout son poids sur le royaume de Naples, punir le souverain d'avoir, le premier, rompu les traités, et le faire repentir des affronts, que les Français avaient reçus dans le port même de Naples: mais le gouvernement se crut vengé dès qu'il fut maître de l'être; il ne se sentit plus que le désir et la nécessité de la paix; pour la donner, il ne demande que les ports d'Otrante, nécessaires

Le baron d'Ottenfels ne devait faire d'ouvertures officieuses qu'après avoir écouté tout ce que l'envoyé du duc d'Otrante pouvait avoir

Il ne me fut donc pas permis d'entrer dans la ville les pas de saint Pierre sont encore marqués: je m'en consolai. Des tours démantelées, un assemblage de maisons en ruine, de bicoques bâties avec des débris, tel est l'aspect que de loin m'offrait cette capitale de la terre d'Otrante que Napoléon érigea en duché en faveur d'un ministre de sa police.

Que le futur duc d'Otrante ait trouvé dans Billaud-Varenne et dans Carnot des envieux de l'immense popularité de Robespierre, cela est possible; mais dans Collot-d'Herbois il rencontrait un complice, c'était mieux. En entendant Maximilien demander compte

Des renseignemens donnés d'une main sûre, et les agens que fournissait le duc d'Otrante , avaient fait connaître, dans tous ses détails, la position des alliés; Napoléon savait que l'armée de Wellington se trouvait disséminée depuis les bords de la mer jusqu'

Le duc d'Otrante, toujours empressé de s'ouvrir des correspondances ostensibles

Le duc d'Otrante, entrant alors en matière, discutait les lois qui, nées dans des circonstances analogues, auraient pu être appliquées aux circonstances présentes; et ces lois lui paraissant impolitiques, dangereuses, insuffisantes, il en concluait qu'il était indispensable que les chambres s'occupassent sur-le-champ, des lois nouvelles nécessaires pour réprimer la licence de la presse, et circonscrire la liberté individuelle jusqu'au retour de l'ordre et de la paix intérieure.

»J'ai l'honneur d'être avec respect, de Votre Majesté, le très humble serviteur. »Signé: le duc D'OTRANTE. »Paris, le 23 avril 1814.» »P.-S. Je dois déclarer

Ni les réformes libérales de M. de Talleyrand, ni les menaces révolutionnaires du duc d'Otrante ne conjurèrent le péril qui les pressait. Malgré leur rare esprit et leur longue expérience, ils méconnaissaient l'un et l'autre la nouvelle face des temps, ne voyant pas, ou ne voulant pas voir combien ils convenaient peu aux luttes que les Cent-Jours devaient ranimer. L'élection d'une Chambre ardemment royaliste les surprit comme un phénomène inattendu; ils tombèrent tous deux

Mot du Jour

cuthbert

D'autres à la Recherche