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Mis à jour: 8 juin 2025
JUSQUE-LÀ tout allait bien. Mais Victor, en passant dans Borizof, y avait laissé Partouneaux et sa division. Ce général devait arrêter l'ennemi en arrière de cette ville, chasser devant lui les nombreux traîneurs qui s'y étaient abrités, et rejoindre Victor avant la fin du jour. Partouneaux voyait pour la première fois le désordre de la grande-armée. Il voulut, comme Davoust au commencement de la retraite, en cacher la trace aux yeux des Cosaques de Kutusof, qui le suivaient. Cette vaine tentative, les attaques de Platof par le grand chemin d'Orcha, et celles de Tchitchakof par le pont brûlé de Borizof, le retinrent dans cette ville jusqu'
En reculant ainsi vers le sud, ils couvraient le flanc droit de la route d'Orcha
Le 22, on marcha péniblement d'Orcha vers Borizof, sur un large chemin bordé d'un double rang de grands bouleaux dans une neige fondue et au travers d'une boue profonde et liquide. Les plus faibles s'y noyèrent: elle retint et livra aux Cosaques tous ceux des blessés qui, croyant la gelée établie pour toujours, avaient,
L'ancienne ville, celle qui occupe le plateau et les pentes de la rive gauche, est environnée d'une muraille haute de vingt-cinq pieds, épaisse de dix-huit, longue de trois mille toises, et défendue par vingt-neuf grosses tours, par une mauvaise citadelle en terre de cinq bastions qui commande la route d'Orcha, et par un large fossé servant de chemin couvert.
Un officier envoyé par l'empereur pour faire évacuer les magasins d'Orcha, a été fort étonné de trouver la place au pouvoir des Français; cet officier a été pris avec ses dépêches.
Quoique, dans cette journée, le froid ne fût pas excessif, il n'en périt pas moins une grande quantité d'hommes. Car, pour ceux qui venaient de Moscou, c'était le dernier effort que l'homme pût faire. Sur peut-être quarante ou cinquante mille hommes qui couvraient le parcours de dix lieues, il n'y en avait pas la moitié qui avaient vu Moscou: c'était la garnison de Smolensk, d'Orcha, de Wilna, ainsi que les débris des corps d'armée des généraux Victor et Oudinot et de la division du général Loison, que nous avions rencontrés mourant de froid, avant d'arriver
Alors seulement, il montre une vive inquiétude sur les approvisionnemens d'Orcha. C'est le 10 août, dans l'instant même où il dicte cette lettre, qu'il donne l'ordre de mouvement. Dans quatre jours, toute son armée doit être rassemblée sur la rive gauche du Borysthène, vers Liady. Ce fut le 13 qu'il partit de Vitepsk. Il y était resté quinze jours.
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