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Mis à jour: 5 juin 2025
Le poète Kalidaça l'a rendu célèbre dans son beau drame de Sakountala, si poétiquement traduit par M. de Chesy. C'est le mode de mariage des musiciens et des apsaras du paradis d'Indra, mythe atmosphérique qui personnifie le phénomène des vapeurs légères s'unissant pour former des nuages. Afflux du sang au visage.
Cette position est celle indiquée plus haut sous le nom de l'épouse d'Indra. LA POSITION TOURNANTE. L'homme, pendant la connexion, tourne autour de la femme sans se détacher d'elle, ni interrompre l'acte, tandis que la femme tient son corps embrassé; cela s'apprend seulement en s'y exerçant.
Si le corps cependant était ainsi assoupi, mon esprit, par contre, ne restait pas inactif: il sembla n'avoir cessé de travailler. Mes idées apparurent, en effet, avoir profité de cette accalmie involontaire imposée par la nature, pour se classer. J'avais entendu, comme en songe, mon troisième acte, le paradis d'Indra, joué sur la scène de l'Opéra!... L'impalpable audition en avait comme imprégné mon cerveau. Ce phénomène, je le vis, d'ailleurs, se renouveler en moi par la suite,
Si la jeune femme l'écoute avec faveur, le lendemain l'entremetteuse, après avoir reconnu ses bonnes dispositions sur son visage, dans ses yeux et dans son langage, reprendra avec elle son entretien sur l'amoureux, lui contera au long les amours d'Indra avec Ahalya et ceux de Dushyanti avec Sakountala et d'autres semblables.
Une jeune fille, d'une beauté inouïe et revêtue d'un riche costume indien, fit son apparition dans la chambre; apparition est le mot, car on l'eût plutôt prise pour une apsara descendue de la cour d'Indra que pour une simple mortelle.
Voyant le souverain plongé dans ses pénibles soucis, personne n'osait parler, et tous ils étaient absorbés dans leurs tristes pensées. Enfin le fils du monarque des Rakshasas, Indradjit, le plus grand des héros, voyant son père consterné et comme submergé par les flots de cet océan de chagrins, lui adressa la parole en ces termes: «Mon père, il n'est pas temps de s'abandonner au découragement, puisque Indradjit vit encore: oui! puissant roi des Naîrritas, qui que ce soit dans un combat, s'il est touché d'une flèche lancée par mon bras ennemi d'Indra, n'est capable de remporter sa vie sauve! Vois bientôt Râma couché sans vie avec Lakshmana sur le sol de la terre, le corps fendu, tout hérissé de mes flèches et les membres couverts de mes dards aigus.» À ces mots, l'ennemi du roi des Tridaças salua son père et, d'une âme intrépide, il monta dans son char, bien admirable, attelé des plus excellents coursiers et dont la vitesse égalait celle du vent. Quand ce guerrier
Après qu'il eut éclairé de ses conseils la Djanakide et ses deux fils, le monarque issu de Raghou, Daçaratha, flamboyant, s'éleva dans son char vers le monde d'Indra. Il suivait le chemin fréquenté par les Dieux; et, ses regards baissés vers la surface de la terre, il s'éloignait, sans quitter des yeux le visage de son fils aussi beau que l'astre des nuits.
Mais, quand il nous aura vus, nous d'une fougue épouvantable dans la guerre, mis hors de combat et tombés sans connaissance, alors, sans doute, cet ennemi des Tridaças nous abandonnera; et, content de la gloire insigne, qu'il a recueillie dans sa bataille, cet odieux contempteur d'Indra et de ses Dieux, va bientôt s'en aller, environné de ses amis, raconter son triomphe au monarque des Rakshasas.» En effet, ces multitudes de flèches, lancées par Indradjit, couvrirent de blessures les deux nobles frères; et, quand il eut abattu ces deux puissants Raghouides, le prince des Rakshasas mit fin au combat en poussant un cri de victoire.
Irrité de voir son trait anéanti, le monarque des Rakshasas fit alors tomber sur Râma d'épouvantables averses de flèches. Quand il eut rempli de mille dards ce prince aux infatigables exploits, il perça Mâtali avec une foule de traits. Après qu'il eut abattu le drapeau d'or sur le fond du char, Râvana de blesser avec la rapidité de ses flèches les coursiers mêmes d'Indra.
«Râma ne pourra jamais te reconquérir, Mithilienne, comme Hiranyakaçipou ne put enlever Poulakshmî venue dans les mains d'Indra.»
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