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Mis à jour: 2 mai 2025


M. d'Esterhazy me donnait le bras, et nous traversions une partie du parc, lorsqu'

«Pour vous, dit le sorcier au prince d'Esterhazy, vous, simple et bon, vivant d'amitié et de dévouement, votre vie est attachée

Ce réquisitoire mémorable, connu sous le nom de J'accuse! parut dans l'Aurore, numéro du 13 janvier 1898, le lendemain même de l'acquittement d'Esterhazy. La «Lettre au président» avait été précédée de deux autres brochures. L'une «la Lettre

Zola, avant le procès d'Esterhazy, était depuis plusieurs mois accaparé par la défense de Dreyfus. Il avait abandonné ses travaux ordinaires. Toutes ses habitudes régulières étaient interrompues, bouleversées. Il ne s'appartenait plus. Il était possédé, comme eût dit un exorciste du moyen âge.

Elle me dit aussitôt avec un son de voix plein de douceur, un peu gras pourtant: «Je suis charmée, madame, de vous recevoir ici; votre réputation vous avait devancée. J'aime beaucoup les arts, et surtout la peinture. Je ne suis pas connaisseur, mais amateurTout ce qu'elle ajouta pendant cet entretien, qui fut assez long, sur le désir qu'elle avait que je pusse me plaire assez en Russie pour y rester long-temps, portait le caractère d'une si grande bienveillance, que ma timidité disparut, et lorsque je pris congé, j'étais entièrement rassurée. Seulement je ne me pardonnais pas de n'avoir pas baisé sa main, qui était très belle et très blanche, d'autant plus que M. d'Esterhazy m'en fit des reproches. Quant

Quoique, en fait, l'armée française eût été contenue dans Vienne avec assez de discipline, sans doute les habitants virent avec une grande joie le départ des hôtes qu'il leur avait fallu recevoir, loger et nourrir avec soin. Si on veut une idée des ménagements que les vaincus se trouvaient forcés d'avoir pour nous, il suffira de dire que les généraux Junot et Bessières, logés chez le prince d'Esterhazy, recevaient chaque jour de Hongrie tout ce qui devait contribuer

Quoi qu'il en soit, le soir même, M. d'Esterhazy, en revenant de Czarskozelo, l'impératrice était établie, vint me prévenir que Sa Majesté me recevrait le lendemain

J'étais bien loin de me sentir remise de toutes mes fatigues, car je n'habitais Pétersbourg que depuis vingt-quatre heures, lorsqu'on m'annonça l'ambassadeur de France, le comte d'Esterhazy. Il me dit qu'il allait informer tout de suite l'impératrice de mon arrivée, et prendre en même temps ses ordres pour ma présentation. Un instant après, je reçus la visite du comte de Choiseul-Gouffier. Tout en causant avec lui, je lui témoignai le bonheur que j'aurais

Peterhoff. Pétersbourg. Le comte d'Esterhazy. Czarskozelo. La grande-duchesse Elizabeth, femme d'Alexandre. Catherine II. Le comte Strogonoff. Kaminostroff. Esprit hospitalier des Russes.

»Cet officier, ayant été appelé au deuxième bureau, y découvrit un jour que Dreyfus avait été condamné pour le crime d'Esterhazy. Il en avertit ses chefs. Ils essayèrent, d'abord par douceur, puis par menaces, de l'arrêter dans des recherches qui, en découvrant l'innocence de Dreyfus, découvriraient leurs erreurs et leurs crimes. Il sentit qu'il se perdait en persévérant. Il persévéra. Il poursuivit avec une réflexion calme, lente et sûre, d'un tranquille courage, son oeuvre de justice. On l'écarta. On l'envoya

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cuthbert

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