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Un frisson parut courir sur les épaules de la pauvre fille.... Elle hésita.... Puis, dans un mouvement de désespoir inconcevable, levant les yeux au ciel comme pour y demander un secours inespéré, elle se retourna une dernière fois vers la baie, dans un volte-face rapide, et rencontra les yeux d'Arthur, qui semblait guetter ce moment.

La manoeuvre d'Arthur n'avait pas échappé

Alida Meunier, la soeur d'Arthur, avait en vain tenté,

Elle allait lentement, la tête penchée, et chantait bien mélancoliquement la complainte d'Arthur de Bretagne. Pelo Rouan ne l'interrogeait point parce qu'il connaissait la cause de sa tristesse. Cependant la veillée continuait dans la cuisine du château de La Tremlays.

On savait qu'il admettait dans sa maison des gens de couleur, et il avait même osé quelquefois se montrer publiquement dans leur compagnie. Une voix fait entendre ces mots: «À la maison d'Arthur TappanEt la multitude s'y porte aussitôt; arrivés l

Les trois principales cours d'Arthur. Caerllion sur l'Usk en Cambrie, Celliwig en Cornwall, et

Ce déchirement infaillible et nécessaire de l'empire anglais se (p. 063) trouva provoqué d'abord par la rivalité de Jean et d'Arthur son neveu. Celui-ci, fils de l'héritière de Bretagne et d'un frère de Jean, avait été dès sa naissance accepté par les Bretons, comme un libérateur et un vengeur. Ils l'avaient, malgré Henri II, baptisé du nom national d'Arthur. Les Aquitains favorisaient sa cause. La vieille

PEMBROKE. Eh bien, comme l'organe de ceux que voici, et pour vous découvrir les pensées de leurs coeurs; pour moi comme pour eux, mais surtout pour votre sûreté, dont eux et moi faisons notre soin le plus cher, je vous demande avec instance la liberté d'Arthur, dont la captivité porte les lèvres du mécontentement, toujours prêtes au murmure,

Ce déchirement infaillible et nécessaire de l'empire anglais se trouva provoqué d'abord par la rivalité de Jean et d'Arthur son neveu. Celui-ci, fils de l'héritière de Bretagne et d'un frère de Jean, avait été dès sa naissance accepté par les Bretons, comme un libérateur et un vengeur. Ils l'avaient, malgré Henri II, baptisé du nom national d'Arthur. Les Aquitains favorisaient sa cause. La vieille

Le rôle de la nourrice de Juliette offre également peu de ces subtilités que Shakspeare paraît, dans cet ouvrage, avoir réservées aux gens de la haute classe, et quelquefois aux valets qui les imitent. Ce caractère de la nourrice est indiqué dans le poëme d'Arthur Brooke, il est loin cependant d'avoir la même vérité grossière que dans la pièce de Shakspeare.