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Mis à jour: 9 mai 2025


Si tout ce que vous venez de dire n'est inspiré que par un juste ressentiment, si ce délire d'amour n'est que de l'indignation, si ce feu dont vous me dévorez n'est que celui de la colère, prenez garde! il s'éteindra trop vite, et demain vous me reprocherez ma faiblesse. Oh! Gabrielle, laissez-moi mourir de vous adorer. Demain peut-être je mourrais en vous maudissant.

Epopopopopopopopopopoï! Io, Io! Venez, venez, venez, venez, venez ici, ô mes compagnons ailés; vous qui paissez les sillons fertiles des laboureurs, tribus innombrables de mangeurs d'orge, famille des cueilleurs de graines, au vol rapide, au gosier mélodieux; vous qui, dans la plaine labourée, gazouillez, autour de la glèbe, cette chanson d'une voix légère: «Tio, tio, tio, tio, tio, tio, tio, tioet vous aussi qui dans les jardins, sous les feuillages du lierre, faites entendre vos accents; et vous qui, sur les montagnes, becquetez les olives sauvages et les arbouses, hâtez-vous de voler vers mes chansons. Trioto, trioto, totobrix! Et vous, vous encore qui, dans les vallons marécageux, dévorez les cousins

Vous me l'avez dit, et j'en conviens. Vous, au contraire, vous remuez toujours; vous revenez de la chasse quand je me lève; vous avez sans cesse les doigts tachés d'encre, et c'est pour moi un chagrin d'écrire. Pour la lecture, c'est tout de même; vous dévorez jusqu'

Avec la même voix descendue de deux tons dans le charabia, la mère répondit: Vous dévorez, bos otros... pourquoi tu veux pas qu

»Et, comme elle s'emportait, je crus devoir lui dire encore: » Tenez, ma pauvre chère enfant, vous êtes dévorée par votre imagination, et vous dévorez tout autour de vous. Si vous continuez ainsi, vous arriverez

Vous qui lisez beaucoup, parce que vous n'avez pas le même respect que moi pour les livres (et vous avez raison, votre art doit vous faire dédaigner le nôtre), vous, dis-je, qui comprenez vite et qui dévorez les volumes, vous ne savez ce que c'est que l'importance d'une lecture attentive et lente pour une âme paresseuse comme la mienne. Je ne suis pourtant pas de ceux qui attribuent aux livres une influence morale et politique bien sérieuse. La philosophie me paraît surtout la plus innocente de toutes les spéculations poétiques, et je pense que les âmes d'exception, soit par leur force, soit par leur faiblesse, sont seules capables d'y puiser des résolutions et des encouragements réels. Toute intelligence qui ne cherche pas sa conviction et sa lumière dans les leçons de l'expérience et de la réalité, et qui se laisse gouverner par des fictions, est organisée exceptionnellement. Si c'est en plus, elle s'exaltera et se fortifiera par les bonnes lectures; si c'est en moins, elle y trouvera de grands sujets de consolation ou peut-être elle s'affectera misérablement de ce qu'elle croira être sa condamnation. Dans l'un et l'autre cas, la lecture aura joué un rôle très-accessoire dans ces diverses destinées. Leurs résultats se fussent produits plus ou moins vite si les individus n'avaient pas su lire. Et quant

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sainte-rose

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