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Mis à jour: 4 mai 2025
Elle eut encore son sourire navré; mais avec effort, elle s'était redressée... Il la vit pâle comme un spectre et titubante... Rouletabille était bien aussi pâle qu'elle et il pensait: «Comme elle l'aimait, ce bourreau de sa famille!» Et il la méprisait et la détestait et eût voulu lui faire du mal... Car il souffrait atrocement et elle n'avait même pas l'air de s'en apercevoir.
Il était bon et humain. Sa religion était amour et charité; il détestait de contraindre les consciences. Mais c'est une question de savoir si sa politique religieuse, du moins
Marie-Louise. Son portrait. Ce qu'elle était dans l'intérieur et en public. Ses relations avec les dames de la cour. Son caractère. Sa sensibilité. Son éducation. Elle détestait le désœuvrement. Comment elle est instruite des affaires publiques. L'empereur se plaint de sa froideur avec les dames de la cour. Comparaison avec Joséphine. Bienfaisance de Marie-Louise. Somme qu'elle consacre par mois aux pauvres. Napoléon ému de ses traits de bienfaisance. Journée de Marie-Louise. Son premier déjeuner. Sa toilette du matin. Ses visites
Cognard sortit résolument cette fois-ci et, après une courte altercation qu'on entendit clairement, et dans laquelle le mari haussa la voix d'un ton plus haut que sa femme, le silence se fit enfin tout de bon. C'est égal, le docteur Lajust pouvait se vanter d'avoir en madame Cognard une femme qui le détestait joliment!
Une telle scène d'intimité, humiliante d'elle-même, l'était bien plus encore parce qu'elle se passait devant un tiers, devant celle qui la connaissait le mieux, l'aimait le moins, sa fille. La duchesse de Berry, dès l'enfance, détestait sa fausseté. Elle avait vu alors la servitude, les dangers de son père, l'espionnage de sa mère, ses rapports
Marie-Louise. Son portrait. Ce qu'elle était dans l'intérieur et en public. Ses relations avec les dames de la cour. Son caractère. Sa sensibilité. Son éducation. Elle détestait le désœuvrement. Comment elle est instruite des affaires publiques. L'empereur se plaint de sa froideur avec les dames de la cour. Comparaison avec Joséphine. Bienfaisance de Marie-Louise. Somme qu'elle consacre par mois aux pauvres. Napoléon ému de ses traits de bienfaisance. Journée de Marie-Louise. Son premier déjeuner. Sa toilette du matin. Ses visites
Au reste, il ne les redoutait pas moins qu'il ne les détestait. Trois ans avant sa mort, quand la restauration des enfans d'Ignace en France paraissait assurée, il songeait
L'apparition de Sefietje avec sa bouteille, vers dix heures, était un instant de délicieux réconfort. Jeunes ou vieilles, toutes vidaient avec joie le verre d'alcool; et cela les ranimait. Elles faisaient un bout de causette avec Sefietje, qui avait bien le temps alors et s'asseyait volontiers sur une chaise, bouteille et petit verre en main. On parlait des autres ouvriers, surtout de ceux de la «fosse aux huiliers», qui étaient encore plus mauvais sujets que tous les autres. Sefietje détestait les hommes, tous les hommes. Elle était hostile
Car il me souvient que, dans un entretien que j'eus un jour avec le roi sur ce que je lui avais dit par hasard qu'il y avait parmi nous un grand nombre de volumes écrits sur l'art du gouvernement, Sa Majesté en conçut une opinion très basse de notre esprit, et ajouta qu'il méprisait et détestait tout mystère, tout raffinement et toute intrigue dans les procédés d'un prince ou d'un ministre d'
Elle détestait la controverse et il l'aimait beaucoup: c'était le seul défaut qu'elle lui trouvât. «Vous présumez trop de moi, dit-elle. Hélas! mon erreur m'est chère. On aime la religion qu'on a sucée avec le lait comme on aime son pays natal; c'est une fatalité.
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