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Mis à jour: 3 juillet 2025


En 1765, des prisonnières huguenotes détenues depuis dix-huit ans dans les prisons de Bordeaux adressent une requête

Un grand pas était fait; ce n'était pas encore assez: il fallait trouver les moyens d'arracher les détenues

Les détenues offensées se rapprochèrent et l'entourèrent en vociférant, oubliant ou plutôt se révoltant contre l'ascendant que la jeune fille avait jusqu'alors pris sur elles. Elle nous appelle lâches! De quel droit vient-elle nous blâmer? Est-ce qu'elle est plus que nous? Nous avons été trop bonnes enfants avec elle. Et maintenant elle veut prendre des airs avec nous.

Les détenues ne peuvent écrire que tous les deux mois, pourvu toutefois qu'elles n'aient pas été punies: *

C'est vrai, c'est vrai... il ne fallait pas lui rendre ses loques, murmuraient les détenues, entraînées par l'exemple de la Louve. Tant pis pour Mont-Saint-Jean!...

Cette femme était le jouet des détenues. Une chose aurait pourtant la garantir de ces mauvais traitements... elle était grosse. Mais sa laideur, son imbécillité et l'habitude qu'on avait de la regarder comme une victime vouée

Tenez, monseigneur, depuis que je vous ai vu, j'ai accompagné dans ses visites aux prisons une femme de mes amies qui est patronnesse de l'oeuvre des jeunes détenues de Saint-Lazare; cette maison renferme des créatures bien coupables.

J'interprète le règlement, me dit-il, avant de l'appliquer. Et je l'explique moi-même aux détenues. Le règlement prescrit, par exemple, le silence absolu. Or, si elles gardaient absolument le silence, elles deviendraient toutes idiotes ou folles. Je pense, je dois penser, que ce n'est pas cela que veut le règlement. Je leur dis: «Le règlement vous ordonne de garder le silence. Qu'est-ce que cela signifie? Cela signifie que les surveillantes ne doivent pas vous entendre. Si l'on vous entend, vous serez punies; si l'on ne vous entend pas, on n'a pas de reproche

Il y a de tout ici comme ailleurs, semblait-il me dire de son regard doux et las. Quand nous traversâmes la cour, une longue file de détenues achevait la promenade silencieuse et regagnait les ateliers. Il y avait beaucoup de vieilles, l'air brut et sournois.

À Noirlieu, était-ce une pure légende provinciale? les gens de la ville racontaient aux étrangers que le silence continu donnait aux femmes de la prison des maladies de la gorge et du larynx, et que, pour combattre ces maladies, on forçait les détenues

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orneront

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