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Le roulis le remuait, le gênait dans sa besogne, lui dérangeait son cadavre, et il s'impatientait dans l'attente de ce vin qu'il allait boire. D'abord les pieds; on lui avait recommandé de les bien serrer,

On le mit sur une civière découverte; la mère et la grand'mère l'embrassèrent une dernière fois; on tira le jeune frère de ses occupations pour en faire autant, ce qu'il exécuta en pleurnichant, non pas de ce que son frère aîné était mort, mais de ce qu'on le dérangeait de son occupation; puis on déposa le corps de l'enfant sur une civière, en jetant seulement sur lui un drap déchiré, et on l'emporta.

Ce jeu dura huit jours. Tout allait bien le matin, et le soir il s'élevait subitement une objection imprévue qui dérangeait tout. Ce n'était plus pour le bon docteur que chausse-trapes, hésitations, fluctuations. Mr. Sharp ne pouvait se décider

Ce sentiment pour lequel nous n'avons pas de nom, que les Allemands désignent sous le nom de Gemüth, et les Anglais sous celui de feeling; ce sentiment pour lequel notre langue n'a d'autre terme que celui de sens affectif ou sens émotif, était venu poétiser la forme en l'animant. Ce n'étaient plus ces lignes froides et immobiles dont rien ne dérangeait la régularité glacée; ce n'était plus ce visage toujours le même, mais l'absence de la pensée imprimait le sceau du néant; il y avait maintenant dans

Il soulevait comme une plume les meubles les plus lourds, il dérangeait les fauteuils et les chaises, il sondait les placards et les armoires, il interrogeait les tentures, les rideaux et les portières. Jamais perquisition ne fut plus complète. De la cour au grenier pas un recoin ne fut oublié.

Une seule chose amenait parfois un pli léger sur le front de sir Cooman et dérangeait la symétrie de ses cheveux soigneusement frisés. Pour expliquer cette chose, il nous faut faire une légère excursion dans le passé de sir Cooman.

Il semblait chez lui et ne se dérangeait nullement... Il avait relevé sa longue queue de cheveux gris nattés, et l'avait roulée en manière de chignon de femme sur la pointe de son crâne chauve... Complaisamment il lavait dans notre ruisseau ses membres osseux qui semblaient enduits de safran, et le soleil l'éclairait tout de même, de sa lueur discrètement voilée par la verdure, et l'eau fraîche et claire bruissait tout de même autour de lui, avec autant de naturel et de gaîté qu'elle eût pu le faire pour nous...

Maubreuil lui demanda si cela dérangeait sa mission, ce qu'il devait faire. Laborie répondit: «Non assurément; tenez-vous prêt, mais attendons

On lui avait donné pour sous-chef M. Jumelle, l'homme masqué qui vient d'entrer dans notre récit, et avec lequel nous aurons meilleure occasion de faire plus ample connaissance. Comme M. Jumelle ne se dérangeait lui-même que dans les grandes occasions, il fallait que le cas présent fût grave.

Vers minuit, un homme rôdait, ou plutôt rampait, du côté du chemin creux d'Ohain. C'était, selon toute apparence, un de ceux que nous venons de caractériser, ni Anglais, ni Français, ni paysan, ni soldat, moins homme que goule, attiré par le flair des morts, ayant pour victoire le vol, venant dévaliser Waterloo. Il était vêtu d'une blouse qui était un peu une capote, il était inquiet et audacieux, il allait devant lui et regardait derrière lui. Qu'était-ce que cet homme? La nuit probablement en savait plus sur son compte que le jour. Il n'avait point de sac, mais évidemment de larges poches sous sa capote. De temps en temps, il s'arrêtait, examinait la plaine autour de lui comme pour voir s'il n'était pas observé, se penchait brusquement, dérangeait