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Mis à jour: 19 juin 2025


Tant qu'avait duré l'émigration, il avait protégé monsieur le duc d'Orléans contre les haines du parti royaliste, mais, depuis sa rentrée en France, lui-même en avait adopté toutes les exagérations, et, surtout depuis ce qui s'était passé

»Eh bien! on se trompera. Nous serons obligés d'en faire, et nous en ferons. Ce sera profitable et ce ne sera pas difficile. Sans doute nous ne nous allierons pas aux républicains: ce serait un manque de goût, et le loyalisme nous le défend. Nous ne pourrons pas être moins royalistes que le Roi, mais nous pourrons l'être plus. Monseigneur le duc d'Orléans n'est pas démocrate, c'est une justice

La Restauration n'a point rétabli de relations entre madame de Genlis et la maison d'Orléans. M. le duc d'Orléans n'a voulu la voir qu'une fois. Il s'est contenté de lui continuer la pension de l'empereur.

Lorsque tous les députés furent réunis, et que le duc d'Orléans et le prince de Condé furent arrivés, on donna lecture d'une lettre du roi qui se plaignait que les bourgeois eussent ouvert les portes de Paris

Rarahu avait oublié sa rancune de petite fille contre toutes ces femmes, maintenant qu'elle allait en maîtresse leur faire les honneurs du logis; absolument comme Louis XII, roi de France, oublia les injures du duc d'Orléans.

Le duc d'Orléans... hélas! que de faiblesse en celui-ci, dont la haine même fut une faiblesse! Tête et cœur, tout en lui était trop petit pour une telle passion. Mais quel travail de ses conseillers, quel complot des intérêts particuliers s'empressant

Il importait aussi, dans l'intérêt de monsieur le duc d'Orléans, que l'impartialité de l'ambassadeur fût reconnue. Cette accusation tomba comme tant d'autres. Il n'y en avait pas de moins fondée, car, si monsieur le duc d'Orléans avait voulu lier quelque intrigue

[Note 80: Gaston d'Orléans «a toujours eu l'esprit un peu page» (Tallem. des R., t. 2, p. 290). On cite vingt plaisanteries de ce prince qui ressemblent

Celui qui commença cette révolution n'était pas un prêtre; c'était un beau jeune homme , brillant, aimable, de noble race . Personne ne faisait comme lui des vers d'amour en langue vulgaire; il les chantait lui-même. Avec cela, une érudition extraordinaire pour le temps: lui seul alors savait le grec et l'hébreu. Peut-être avait-il fréquenté les écoles juives (il y en avait plusieurs dans le Midi) ou les rabbins de Troyes, de Vitry ou d'Orléans. Il y avait alors deux écoles principales

Il faut remarquer qu'alors Louis XV était mineur, et le duc d'Orléans régent.

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