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Mis à jour: 15 septembre 2025


Avant de quitter Jérusalem, je veux aujourd'hui pénétrer une dernière fois dans l'enceinte sacrée des musulmans, revoir la merveilleuse mosquée d'Omar, en rester au moins faute de mieux, hélas! sur le souvenir de cette splendeur.

Dans le même temps les Lieutenants d'Omar s'avançaient en Perse. Le dernier des Rois Persans, que nous appelons Hormisdas IV, livre bataille aux Arabes

À peine eut-il prononcé ces noms, qu'au sein même des musulmans éclata un schisme terrible: les partisans d'Omar et d'Ali, se traitant mutuellement d'hérétiques, d'impies, de sacriléges, s'accablèrent de malédictions. La querelle même devint si violente qu'il fallut que les groupes voisins s'interposassent pour les empêcher d'en venir aux mains.

Au milieu, et très loin de nous, qui arrivons par un des angles de cette place immense, se dresse solitaire un surprenant édifice tout bleu, d'un bleu exquis et rare, qui semble quelque vieux palais enchanté revêtu de turquoises: c'est cela, la mosquée d'Omar, la merveille de l'Islam. Quelle solitude, grandiose et farouche, les Arabes ont su maintenir autour de leur mosquée bleue!

A cette plus grande lumière d'aujourd'hui, elle semble avoir vieilli, l'incomparable mosquée d'Omar. Elle garde toujours le brillant de ses marbres et de ses ors, les reflets changeants de ses mosaïques, les transparences de pierreries de ses verrières; mais ses treize siècles se lisent,

Ibid., lig. 4. (S'il faut commencer par le coude.) C'est un des grands points de schisme entre les partisans d'Omar et ceux d'Ali. Supposons que deux musulmans se rencontrent en voyage, et qu'ils s'abordent fraternellement; l'heure de la prière venue, l'un commencé l'ablution par le bout des doigts, l'autre par le coude, et les voil

Mot du Jour

1726-1759

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