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Mis à jour: 13 mai 2025


Il sentait que la main de Mme Rose tremblait entre les siennes, tandis que la flamme dévorait le médaillon; elle la dégagea doucement et regarda par la fenêtre, ne sachant comment dissimuler son trouble. Georges gardait le silence. Il s'était fait comprendre tout d'un coup, en quelque sorte malgré lui, et craignait de parler, de peur d'offenser sa compagne.

Fut-ce la présence de miss Sharp qui me gêna? Fut-ce la crainte d'offenser ses dix-huit ans, si ingénus dans leur hardiesse? Dois-je m'en prendre

Thaïs le regarda d'un oeil sombre; un pli dur traversait son petit front: Tu es bien hardi, étranger, d'offenser ton hôtesse. Regarde-moi et dis si je ressemble

Mais Nicias l'accompagna sur le seuil, il lui posa la main sur l'épaule et lui répéta dans le creux de l'oreille: Crains d'offenser Vénus; sa vengeance est terrible.

Mais Dieu est bon et clément: pourquoi craindre de le prier, d'entrer dans une église? Oh! non, non... monsieur Rodolphe... ce serait comme une impiété... C'est bien assez d'offenser le bon Dieu autrement. Après un moment de silence, Rodolphe dit

Je passai dans une autre chambre; mais je tournai vite le dos, ne pouvant endurer la mauvaise odeur. Mon conducteur me poussa dedans, et me pria tout bas de prendre garde d'offenser un homme qui s'en ressentirait; ainsi je n'osai pas même me boucher le nez. L'ingénieur qui logeait dans cette chambre était le plus ancien de l'académie: son visage et sa barbe étaient d'une couleur pâle et jaune, et ses mains avec ses habits étaient couverts d'une ordure infâme. Lorsque je lui fus présenté, il m'embrassa très étroitement, politesse dont je me serais bien passé. Son occupation, depuis son entrée

La pénitence fructueuse est celle qui naît du regret d'avoir «offensé Dieu qui est bon plus encore qu'il n'est justeIl n'est pas comme les princes de la terre qui ne savent pas différer leur vengeance; mais plus la sienne a été retardée, plus elle est terrible. Nous craignons d'offenser les hommes, nous fuyons leurs regards pour faire le mal; ne savons-nous pas que Dieu est partout présent? «L'affection de la chair nous entraîne

Un tel spectacle aurait rendu mon bon vieux père muet de colère autant que de surprise, car il avait la crainte d'offenser le Créateur, si profondément enracinée dans l'âme, qu'il ne voulait pas entendre parler de contraindre la Nature, et que toute innovation lui paraissait toucher de bien près au blasphème. C'était Dieu qui avait créé le cheval.

Dans ce curieux discours, qui semble renouvelé d'Aristippe ou d'Horace, on a pu relever au passage bon nombre de pensées toutes faites pour courir en maximes; on a sentir aussi par instants quelques-unes des idées familières au chevalier, qui se sont glissées comme par mégarde dans sa rédaction, mais tout aussitôt le pur et vrai La Rochefoucauld recommence. Par exemple, c'est bien La Rochefoucauld qui dit: «Nous devons quelque chose aux coutumes des lieux nous vivons, pour ne pas choquer la révérence publique, quoique ces coutumes soient mauvaises; mais nous ne leur devons que de l'apparence: il faut les en payer et se bien garder de les approuver dans son coeur» Puis c'est le chevalier qui, pour arrondir sa phrase, ajoute: de peur d'offenser la raison universelle qui les condamne. Il ne s'est pas aperçu que cette raison universelle et tant soit peu platonicienne n'était pas compatible avec les idées de La Rochefoucauld. Et, en général, le chevalier ne paraît pas s'être bien rendu compte de la portée de cette doctrine insinuante: il ne pense qu'

Pendant que Béatrice parlait, elle était tremblante. Elle craignait d'offenser son amant, et cependant elle s'était imposé l'obligation de s'exprimer sans réserve; cette crainte et le désir de plaire faisaient étinceler ses yeux. Elle ne ressemblait plus

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batilliat

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