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Mis à jour: 20 juillet 2025
Ce mot fit rire Florent. Mais il devint grave, il se promena lentement dans le potager, pendant que Claude faisait une esquisse de l'écurie, et que madame François préparait le déjeuner. Le potager formait une longue bande de terrain, séparée au milieu par une allée étroite. Il montait un peu; et, tout en haut, en levant la tête, on apercevait les casernes basses du Mont-Valérien. Des haies vives le séparaient d'autres pièces de terre; ces murs d'aubépines, très-élevés, bornaient l'horizon d'un rideau vert; si bien que, de tout le pays environnant, on aurait dit que le Mont-Valérien seul se dressât curieusement pour regarder dans le clos de madame François. Une grande paix venait de cette campagne qu'on ne voyait pas. Entre les quatre haies, le long du potager, le soleil de mai avait comme une pâmoison de tiédeur, un silence plein d'un bourdonnement d'insectes, une somnolence d'enfantement heureux. À certains craquements,
Dans les calomnies ineptes dont les oiseaux sont l'objet, nulle ne l'est plus que de dire, comme on a fait, que le pic, qui creuse les arbres, choisit les arbres sains et durs, ceux qui présentent le plus de difficultés et peuvent augmenter son travail. Le bon sens indique assez que le pauvre animal, qui vit de vers et d'insectes, cherche les arbres malades, cariés, qui résistent moins et qui lui promettent, d'ailleurs, une proie plus abondante. La guerre obstinée qu'il fait
Mais pourquoi, dans un nid populeux, plutôt que dans un autre, est-il utile qu'un Bourdon se charge d'éveiller ses frères et de les appeler au travail? L'activité n'est-elle pas plus avantageuse, et l'office du réveille-matin plus nécessaire, précisément dans une société plus pauvre? Et puis enfin, dans ces sociétés d'insectes, où chacun, sans effort, et dans une entière spontanéité, travaille pour la communauté avec un zèle qu'on dirait excité par le seul intérêt personnel, où chacun et tous fonctionnent dans le plus parfait unisson, est-il
Mais l'automne est venue. Pendant que l'alouette fait derrière la charrue sa récolte d'insectes, nous arrivent les hôtes des contrées boréales: la grive exacte
Il nous déroule ses fatigues, ses étapes forcées, ses dix-huit heures de cheval, ses jours sans eau, ses nuits dévorées d'insectes, les duretés incessantes de cette vie plus dures encore que le péril journalier... et brochant sur le tout une terrible dyssenterie. Toute la journée, il nous en lit de ces notes, et
Du reste, ce n'est pas la faim seule, la prévoyance de la faim, qui décide aux migrations les espèces voyageuses. Si ceux qui vivent d'insectes sont forcés de partir, les mangeurs de baies sauvages pourraient rester
À l'obscurité de l'énigme succède la pleine lumière du vrai au moyen de l'observation que voici, faite avec tout le loisir que réclame une rigoureuse précision. Dans les premiers jours d'octobre, deux grandes touffes d'aster en fleur devant la porte de mon cabinet de travail deviennent le rendez-vous d'une foule d'insectes, parmi lesquels dominent l'Abeille domestique et un
«Napoléon considérait la guerre comme un jeu. Et pourquoi la considérer autrement? Nous sommes trop sérieux lorsque nous parlons de la guerre. On dirait que nous ignorons l'existence des abattoirs. Un beau paysage a sans doute causé plus de souffrances, en tortures de plantes, en agonies d'insectes, qu'une bataille en douleurs humaines.
Quant au repos, il me fut impossible d'en goûter; une fois entré sous l'abri de cette affreuse cabane, je fus envahi par une nuée d'insectes de toutes sortes, pinolillos, puces, scorpions, etc.; il en pleuvait, et j'eus beau m'étendre au dehors, il me fut impossible de m'en délivrer.
Je regardai, et je vis un drapeau rapidement emporté dans une course sans repos et sans terme: il était suivi d'une foule si innombrable, que je ne pouvais croire que la mort eût moissonné autant de victimes. Parmi celles que je reconnus, je considérai l'ombre solitaire, qui se refusa lâchement au grand fardeau du Pontificat ; et je compris alors que j'étais au séjour des âmes tièdes, également réprouvées de Dieu et de ses ennemis. Ces malheureux, qui n'ont point su goûter la vie, étaient nus, et toujours assaillis d'insectes et de mouches cruelles. Leurs larmes et le sang qui coulait de leurs blessures allaient abreuver les vers qui fourmillaient
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