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Mis à jour: 3 juillet 2025
Le nôtre arrivait de la baie d'Hudson, où il avait guerroyé contre l'Anglais, pendant plusieurs mois, avec ses frères d'Iberville, Sainte-Hélène et Maricourt. Accoutumées, lors des fréquentes expéditions qu'il faisait
M. Beaudoin donne ensuite rémunération des stations prises par les Français, et il les met sous trois divisions distinctes: Celles prises par M. de Brouillan seul, avant l'arrivée d'Iberville; celles prises par M. de Brouillan réuni
Mais, dit M. Guérin, dans son Histoire maritime de la France, cette entreprise importante fut interrompue par la mort prématurée de son chef. D'Iberville, qui avait conservé sa santé pendant vingt années de combats glorieux, de découvertes importantes et d'utiles fondations, fut victime,
«Le 23 décembre, après ma messe, dit M. Beaudoin, étant auprès du feu, avec M. d'Iberville, M. de Brouillan vint lui dire qu'il était incapable de le suivre dans les voyages sur la neige, telle que doit être la guerre qu'il a eu
Tous ces noms, depuis les Jacques Cartier jusqu'aux d'Iberville et aux La Vérandrye, appartiennent
M. d'Iberville répondit
Au milieu de ces épreuves d'Iberville était inébranlable: c'était dans les plus terribles circonstances que se révélaient sa fermeté et la sûreté de ses décisions. Il se mit en devoir de sauver son équipage. Il envoya M. de La Potherie et son cousin de Martigny dans un esquif, chercher un lieu de déparquement, puis il fit disposer des radeaux, et embarqua son monde. Les rigueurs du froid étaient telles que, sur les 200 hommes qui se trouvaient sur le bâtiment et qui eurent
Il vole, et le nordet l'emporte Dans un large souffle vainqueur. Le pavillon de la victoire, C'est celui des marins français. . . . . . . . . . . . . . . . . Puis après une longue et vivante description du combat et de la victoire, le poète termine par cet envoi aux marins de l'Aréthuse et du Hussard: Chers marins, chers Français de France, D'Iberville est votre parent.
C'est le récit du combat livré aux Anglais par l'illustre marin d'Iberville, dans les régions glacées et désertes de la mer d'Hudson. Avec son seul navire le Pélican, il captura les trois navires ennemis qui s'étaient crus, en l'attaquant, sûrs de la victoire. Aux marins de l'Aréthuse et du Hussard.
Le capitaine, ayant vu le fort de Biloxi, avait dit qu'il reviendrait en force, mais cela n'inquiéta ni M. d'Iberville ni M. de Sauvalle. Pendant que quelques marchands de Montréal s'inquiétaient de l'établissement de Biloxi, d'autres Canadiens s'en réjouissaient, et y voyaient la source de beaucoup d'avantages pour la Nouvelle-France.
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