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Quoique M. d'Iberville fût affligé de cette décision et qu'il souffrît d'abandonner ceux qu'il avait formés et toujours conduits avec lui, il était disposé cependant

«M. d'Iberville eut bientôt occasion de prendre ce chemin de terre, qui paraissait impraticable

Tantôt, il se propose «de rendre populaire en la dramatisant la partie héroïque de l'histoire canadienne», comme l'écrit M. Marmette dans la préface de son roman historique: François de Bienville, et les héros qu'il choisit sont d'Iberville, Frontenac, La Galissonnière, Montcalm, et tant d'autres grandes figures de l'histoire. Tantôt, laissant les grands noms et les grandes renommées, il s'attache

Dans chaque bastion il y avait des fauconneaux et des pièces de quatre et de huit. En tout, deux mortiers de fonte, 34 canons et plusieurs petites pièces. M. d'Iberville installa ses hommes, puis fit célébrer les offices religieux. M. de Fitz-Maurice fit les offices et ensuite s'occupa de se mettre en rapport avec les sauvages.

M. d'Iberville, qui n'avait jamais fumé, nous dit-il, n'en pouvait supporter le goût, mais il ne disait rien, fumait et refumait avec la plus grande complaisance. Pénicaud rend compte d'une de ces cérémonies, qui fut plus solennelle que les autres. Les chefs des cinq nations que nous venons de nommer vinrent au fort avec leurs hommes. Ils chantaient tous.

Les Canadiens partirent alors avec M. d'Iberville pour aller reconnaître la place en remontant vers le Fourillon, station qui est

Continuation de la guerre: les Français reprennent l'offensive. La conquête de Pemaquid et de la partie anglaise de Terreneuve et de la baie d'Hudson est résolue. d'Iberville défait trois vaisseaux ennemis et prend Pemaquid. Terreneuve: sa description; premiers établissemens français; leur histoire.

D'abord les prévisions de d'Iberville ne se réalisèrent malheureusement que trop. Le gouvernement, au lieu d'accorder sa confiance aux hommes qui avaient donné les plus grandes preuves de dévouement, ne recourut pas

M. d'Iberville, ayant choisi ses gens, fit annoncer

En terminant sa relation, M. de La Potherie croit devoir assurer que l'occupation de la baie d'Hudson n'offrait pas assez d'avantages de commerce pour affronter les périls d'une navigation si longue et si difficile dans des climats si rigoureux. Mais tel n'était pas le sentiment du chevalier d'Iberville, qui savait très bien le parti que les Anglais pouvaient tirer de ce pays.