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Les louanges que l'indulgence de Votre Altesse lui inspire sont d'autant plus dangereuses qu'on ne peut s'empêcher d'être charmé de leur esprit, et qu'on les écoute malgré soi avec un plaisir extrême. Mais regardez donc, monseigneur, quelle charmante jeune femme! Votre Altesse m'accordera du moins que la marquise d'Harville doit être jolie partout. N'est-elle pas ravissante de grâce?

D'ailleurs, nous l'avons dit, Tom et Sarah avaient été particulièrement recommandés au grand-duc régnant de Gerolstein par le vieux marquis d'Harville, engoué, comme tout le monde, de Sarah, dont il ne pouvait assez admirer la beauté, la grâce et le charmant naturel.

La première fois que vous avez chanté ensemble, quelle expression il mettait dans son duo avec vous! quelle émotion!... Tenez, je vous en prie, dit Mme d'Harville après un long silence, changeons de conversation. Pourquoi? Cela m'attriste profondément, ce que vous m'avez dit tout

Chère Clémence! répondit M. d'Harville avec une émotion contenue.

Par le plus malheureux hasard, le père du marquis d'Harville a connu, il y a dix-sept ou dix-huit ans, Sarah Seyton de Halsbury et son frère Tom, lors de leur séjour

Une de ces inspectrices, femme d'un âge mûr, d'une figure grave et douce, resta seule avec Mme d'Harville dans un petit salon attenant au greffe. On ne peut s'imaginer ce qu'il y a de dévouement ignoré, d'intelligence, de commisération, de sagacité, chez ces femmes respectables qui se consacrent aux fonctions modestes et obscures de surveillantes des détenues.

À propos! Et votre mari, est-il ici ce soir? dit Sarah. Non, il n'a pas désiré sortir, répondit Mme d'Harville avec embarras. Il va de moins en moins dans le monde, ce me semble? Oui... quelquefois il préfère rester chez lui. La marquise était visiblement embarrassée; Sarah s'en aperçut et continua: La dernière fois que je l'ai vu, il m'a semblé plus pâle qu'

Nous conduirons le lecteur chez Mme d'Harville. On verra, par l'entretien suivant, que cette jeune femme, en se montrant généreuse et compatissante envers son mari, qu'elle avait jusqu'alors traité avec une froideur extrême, suivait déj

C'est cela, et les médecins pensent que le mal est incurable!... parce qu'il est héréditaire... Mme d'Harville cacha sa tête dans ses mains; accablée par cette douloureuse révélation, elle n'avait plus le courage de dire une parole. Rodolphe aussi resta muet.

Dès qu'elle parut, Mme d'Harville courut