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Mis à jour: 11 juin 2025
Le 9 octobre au matin, trois mille cinq cents hommes de troupes françaises, six cents de troupes continentales et trois cent cinquante de la milice de Charleston conduits par le comte d'Estaing et le général Lincoln s'avancèrent avec la plus grande intrépidité jusqu'aux lignes ennemies. En même temps la milice du pays était occupée
Il fallait des témoins: on appela Lecointre, député de Versailles, qui avait vu les 5 et 6 octobre; Hébert, qui avait souvent visité le Temple; divers employés des ministères, et plusieurs domestiques de l'ancienne cour. On tira de leurs prisons, pour les faire comparaître, l'amiral d'Estaing, ancien commandant de la garde nationale de Versailles, l'ex-procureur de la commune Manuel, Latour-du-Pin, ministre de la guerre en 1789, le vénérable Bailly, qui, disait-on, avait été, avec Lafayette, complice du voyage
D'Estaing, le commandant de cette garde nationale, était au château, croyant partir avec le roi. Lecointre, le lieutenant-colonel, restait sur la place, demandait des ordres
I. M. de La Tour pu Pin père au ministère de la guerre. Dîners officiels. Commencement de l'émigration. La nuit du 4 août. Ruine de la famille de La Tour du Pin. Train de maison du ministre de la guerre. Mmes de Montmorin et de Saint-Priest. Le contrôle général et Mme de Staël. II. Organisation de la garde nationale de Versailles: son commandant en chef, M. d'Estaing; son commandant en second, M. de La Tour du Pin; son major, M. Berthier. Une exécution publique. La Saint-Louis en 1789. La bénédiction des drapeaux de la garde nationale
À propos de ces grades, je raconterai une anecdote qui montrera le ridicule des étiquettes de la Cour. Lors de la prise de l'île de Grenade, dont le fort fut emporté par la compagnie de grenadiers du régiment de Dillon, M. Sheldon, mon cousin, alors âgé de vingt-deux ans seulement, s'y distingua de telle façon que M. d'Estaing, commandant l'armée, le chargea de rapporter en France et de présenter au roi les premiers drapeaux pris
La lettre du comte d'Estaing
«Vous me dites de faire soutenir le général d'Estaing par des détachements de la garnison d'Alexandrie; j'ai fourni cent hommes
Soyez tranquille, je vous en apprendrai bien davantage, avec le temps, citoyen Alcibiade. J'ai fait deux fois le tour du monde. J'ai couru les mers avec d'Estaing, Lapérouse, Surcouf, Marchand et Brueys. J'ai parlé
D'autres gardes nationaux entraient dans la cour, entouraient d'Estaing, demandaient des munitions. Il fut lui-même étonné de leur élan, de l'audace qu'ils montraient, tout seuls au milieu des troupes: «Vrais martyrs de l'enthousiasme,» disait-il plus tard
Passez donc, témoins de vérité et de courage! Passez, gentilshommes qui vous inclinez devant le martyre et devant votre drapeau! Passez, nobles cœurs, fils de 89, auxquels 93 n'imposera pas une lâcheté! Qu'importe, la Tour du Pin, que vous retrouviez pour la ci-devant Reine un salut de Versailles, et que vous la défendiez au péril de votre vie contre l'accusation des massacres de Nancy? Que font, Bailly, votre ferme parole et votre déclaration sans peur, que «les faits contenus dans l'acte d'accusation sont absolument faux»? Et vous, Manuel, dont la Reine a craint un moment la déposition , que sert votre silence? Que sert, d'Estaing, que vous n'accusiez pas cette Reine, dont tous déclarez avoir
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