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Mis à jour: 1 mai 2025


Mme de Villefort remontait lentement l'escalier qui conduisait chez elle. «Est-ce bien cette carafe qui était ici? demanda d'Avrigny. Oui, monsieur le docteur. Cette limonade est la même que vous avez bue? Je le crois. Quel goût lui avez-vous trouvé? Un goût amer

D'Avrigny suivit la malade, termina ses prescriptions, ordonna

Monsieur le docteur d'Avrigny, dit Barrois en chancelant sur ses jambes. Eh bien, qu'avez-vous donc, Barroisdemanda Valentine. Le vieillard ne répondit pas; il regardait son maître avec des yeux effarés, tandis que de sa main crispée il cherchait un appui pour demeurer debout. «Mais il va tombers'écria Morrel.

Non, non, mon ami, dit le docteur, bientôt vous ne souffrirez plus. Ah je vous comprends! s'écria le malheureux; mon Dieu! prenez pitié de moiEt, jetant un cri, il tomba renversé en arrière, comme s'il eût été foudroyé. D'Avrigny posa une main sur son coeur, approcha une glace de ses lèvres. «Eh bien? demanda Villefort.

Jurez donc, messieurs, dit Villefort en joignant les mains de d'Avrigny et de Morrel, jurez que vous aurez pitié de l'honneur de ma maison, et que vous me laisserez le soin de le venger

Oui», répondit laconiquement le médecin en laissant retomber le drap qui recouvrait le visage de Valentine. Noirtier fit entendre un sourd râlement. D'Avrigny se retourna, les yeux du vieillard étincelaient.

Au moment d'Avrigny rentrait dans la chambre de Valentine, accompagnée de Villefort, un prêtre italien,

M. de Villefort fut donc forcé de prier d'Avrigny de se charger des démarches, si nombreuses et si délicates, qu'entraîne la mort dans nos grandes villes, et surtout la mort accompagnée de circonstances aussi suspectes. Quant

«Savez-vous de quoi il est mort? demanda d'Avrigny en posant sa main sur l'épaule de Noirtier. Oui, répondit le vieillard. Pensez-vous que sa mort ait été naturelleQuelque chose comme un sourire s'esquissa sur les lèvres inertes de Noirtier. «Alors l'idée que Barrois avait été empoisonné vous est venue? Oui. Croyez-vous que ce poison dont il a été victime lui ait été destiné? Non.

Prenez garde, dit M. d'Avrigny, elle sera lente... cette mort; vous la verrez s'approcher après avoir frappé votre père, votre femme, votre fils peut-êtreVillefort, suffoquant, étreignit le bras du docteur.

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