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Mis à jour: 27 juillet 2025
L'étonnement d'Anne d'Autriche et de Mazarin fut grand
Il trouva le duc couché sur un sofa, serrant sa blessure dans sa main crispée. «La Porte, dit le duc d'une voix mourante, La Porte, viens-tu de sa part? Oui, Monseigneur, répondit le fidèle serviteur d'Anne d'Autriche, mais trop tard peut-être. Silence, La Porte! on pourrait vous entendre; Patrick, ne laissez entrer personne: oh! je ne saurai pas ce qu'elle me fait dire! mon Dieu, je me meurs!»
J'ai écrit un mot en courant, le 11 de ce mois ou environ, que le consul général d'Autriche, M. Acerbi, quittant la ville royale, m'a promis d'expédier d'Alexandrie; par le premier bâtiment partant pour l'Europe. J'annonçais notre arrivée, en très-bonne santé (tous tant que nous sommes),
Certaine du dévouement de mademoiselle de Hautefort, Anne d'Autriche put la voir sans inquiétude et même favoriser l'amour du roi pour la belle Marie; elle trouvait en elle un appui contre son ennemi le cardinal de Richelieu. Le caractère des deux amants lui était un sûr garant de l'innocence de leurs relations; et d'ailleurs, que lui importait!
Je crois, sire, que, si l'empereur d'Autriche tient la promesse qu'il vous fait, que, si Nelson garde scrupuleusement vos côtes, je crois, en effet, qu'il vaudrait mieux attaquer et surprendre les Français que d'attendre qu'ils vous attaquassent et vous surprissent. Alors, vous voulez la guerre, cardinal? Je crois que, dans les conditions où se trouve Votre Majesté, le pis est d'attendre.
Il ajoutait que cette maison avait une liaison trop intime avec la maison d'Autriche, et prédisait le mécontentement des ducs et des grands du royaume menacés de la prépondérance des princes lorrains établis en France . Henriette, troisième princesse de Modène 22 ans.
À la cour du jeune roi, le trouble et la résistance aux vues de la politique procédaient d'une part du défaut d'harmonie dans le ménage royal, et de l'autre d'une opposition factieuse qui s'organisait visiblement autour du frère même du roi, Gaston, alors duc d'Anjou. La reine Anne d'Autriche.
Napoléon n'abusa pas de la position dans laquelle se trouvait l'empereur d'Autriche; il fut affectueux et d'une politesse extrême, autant que nous pûmes en juger de la distance
Acceptez donc et remerciez, insista Anne d'Autriche. Que dit M. Fouquet? demanda Louis XIV. Sa Majesté veut savoir ma pensée? Oui. Remerciez, Sire... Ah! fit Anne d'Autriche. Mais n'acceptez pas, continua Fouquet. Et pourquoi cela? demanda Anne d'Autriche. Mais vous l'avez dit vous-mêmes, madame, répliqua Fouquet, parce que les rois ne doivent et ne peuvent recevoir de présents de leurs sujets.
Sully, que l'on appelait M. de Rosny, parce qu'il était né au village de Rosny, près de Mantes, était, malgré sa parenté avec l'archevêque de Glasgow et son alliance avec les maisons d'Autriche et d'Espagne, un assez petit compagnon. Lorsque Gabrielle d'Estrées, croyant se faire de lui un serviteur dévoué, et ayant d'ailleurs
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