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Mis à jour: 29 mai 2025
D'abord la vapeur grandit, se colore, et j'aperçois une maisonnette au penchant d'une colline. Derrière s'étend un jardin enclos d'aubépines, et que traverse un ruisseau aux bords duquel j'entends bourdonner les ruches. Puis le paysage grandit encore. Voici des champs plantés de pommiers où je distingue une charrue attelée qui attend son maître.
M. Seguin avait derrière sa maison un clos entouré d'aubépines. C'est l
Ah! mes amis, quelle épouvantable chose! Vous savez, la haie d'aubépines, elle a été rasée au pied par les boulets. Les grandes giroflées fauves, les géraniums, les rhododendrons, traînaient, hachés, broyés, si lamentables
Derrière la chapelle s'étendait, enfermé dans deux grosses haies de coudriers, de sureaux et d'aubépines, ceintes d'un fossé profond, le petit clos inculte, mais joyeux dans sa stérilité, parce que les mousses y étaient hautes, parce que les héliotropes sauvages et les ravenelles y croisaient leurs parfums; parce que sous les marronniers venait sourdre une grosse source, prisonnière dans une citerne de marbre, et que, sur des thyms, tout autour s'abattaient des milliers d'abeilles, venues de toutes les plaines voisines, tandis que les pinsons et les rouges-gorges chantaient follement sur les fleurs de la haie.
Leurs matinées étaient délicieuses. Libres et seuls dans une prairie charmante, tantôt ils causaient, assis sous les saules de la rivière; tantôt ils se promenaient le long des sentiers bordés d'aubépines. Tout en devisant sur les mondes inconnus, ils regardaient de temps en temps autour d'eux, et, se regardant aussi l'un l'autre, ils s'éveillaient des magnifiques voyages de leur imagination pour se retrouver dans une oasis paisible, au milieu des fleurs, et le bras enlacé l'un
Une grande haie de sureaux touffus, d'aubépines et de houblons formait une clôture impénétrable et noire, derrière laquelle s'élevait une maison blanche
Il sentait la marquise près de lui comme on devine le voisinage d'un buisson d'aubépines.
Ce mot fit rire Florent. Mais il devint grave, il se promena lentement dans le potager, pendant que Claude faisait une esquisse de l'écurie, et que madame François préparait le déjeuner. Le potager formait une longue bande de terrain, séparée au milieu par une allée étroite. Il montait un peu; et, tout en haut, en levant la tête, on apercevait les casernes basses du Mont-Valérien. Des haies vives le séparaient d'autres pièces de terre; ces murs d'aubépines, très-élevés, bornaient l'horizon d'un rideau vert; si bien que, de tout le pays environnant, on aurait dit que le Mont-Valérien seul se dressât curieusement pour regarder dans le clos de madame François. Une grande paix venait de cette campagne qu'on ne voyait pas. Entre les quatre haies, le long du potager, le soleil de mai avait comme une pâmoison de tiédeur, un silence plein d'un bourdonnement d'insectes, une somnolence d'enfantement heureux. À certains craquements,
D'un autre côté, des allées de saules, d'acacias, de sorbiers, d'aubépines, de tilleuls, laissoient tomber des guirlandes parfumées de diverses couleurs.
C'était un soir du mois de Mai. Il se promenait dans sa prairie, appuyé sur le bras de Benjamin. Le ciel était limpide, la terre était verte et parfumée, les demoiselles voltigeaient avec un harmonieux frôlement de leurs ailes entre les roseaux du ruisseau, et l'eau, toute couverte de fleurs d'aubépines, murmurait sous les racines des saules.
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