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Cet usage est attesté, pour Athènes, par Xénophon, Gouv. d'Ath., 2; le Scholiaste d'Aristophane, Nuées, 393; pour la Crète et la Thessalie, par des auteurs que cite Athénée, IV, 22; pour Argos, par une inscription, Boeckh, 1122; pour d'autres villes, par Pindare, Ném., XI; Théognis, 269; Pausanias, V, 15; Athénée, IV, 32; IV, 61; X, 24 et 25; X, 49; XI, 66. Plutarque, Solon, 24. Athénée, VI, 26.

Le sévère Boileau, dédaigneux du bouffon, «et laissant la province admirer le Typhon,» y eût-il aussi renvoyé les bouffonneries d'Aristophane?

APOLOGIE de Saluste du Bartas et d'autres poëtes anciens qui ont essayé de mettre en vogue les mots composez; il est monstré que les François, en cette occasion, n'ont esté que des pagnottes , en comparaison des Grecs et des Romains, par l'exemple d'Aristophane, de Plaute, et d'autres autheurs. V. la Comédie des Proverbes, act.

Dans ce passage l'imagination d'Aristophane se montre

Mais, si Socrate, du côté politique, se rapprochait d'Aristophane, il le dépassait de bien loin par les vues sociales, par l'esprit philosophique. Nous avons remarqué qu'Aristophane, dans son extrême amour de l'ordre, confond avec les démagogues la démocratie elle-même; ainsi, dans sa haine des nouveautés (pour parler comme Bossuet, esprit analogue sous ce rapport), il confond la philosophie avec les sophistes. Attaché aux institutions anciennes, qui avaient encore pour elles la consécration de l'expérience et qui avaient eu longtemps celle de la gloire, il emploie

Cette farce, plus ridicule qu'amusante, et qui ne rappelait certes pas par l'esprit celles d'Aristophane que l'auteur avait eu la prétention d'imiter, ne contenait d'un peu plaisant que trois ou quatre couplets chantés par le roi d'Angleterre, George III, qui les fredonnait tout en pêchant des grenouilles.

Toi Colombine, ma colombe, ma colombelle amoureuse et folle, que signifient cette petite toux sèche et ces airs bégueule! Ainsi parle la fille d'Aristophane, et elle ne semble pas du tout satisfaite de ses acteurs changés en nourrice. Eux pourtant se défendent le mieux qu'ils peuvent avec la simple éloquence de leur coeur.

Au reste, si la fantaisie est moins vive, moins impétueuse, moins lyrique dans Plutus que dans les autres comédies d'Aristophane, en revanche elle est plus morale, plus relevée et plus sévère. C'est ce que fera voir l'analyse de la pièce.