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Mis à jour: 21 mai 2025
Pausanias cite, entr'autres, un grand nombre de villes grecques qu'Auguste, après la bataille d'Actium, dépeupla entièrement et dont il transporta les habitants dans d'autres cités, pour les punir d'avoir servi le parti d'Antoine. En Gaule, la sévérité de la nouvelle administration transforma en peu de temps les populations indigènes et leur fit oublier jusqu'
Le dernier fils d'Antoine Grimod, Gaspard Grimod de Verneuil, nous réserve une surprise encore plus singulière: sa fille, mariée
Comment César avait-il accompli tout cela? En rejetant les proscriptions sur le compte d'Antoine et de Lépide; en refusant les triomphes qu'on lui avait offerts; et ayant l'air de remplir les fonctions d'un simple préfet de police; en parlant toujours au nom de la république, pour laquelle il agit, et qu'il va incessamment rétablir; enfin, sur le désir des soldats, en donnant sa soeur Octavie
Le monologue d'Antoine après la bataille d'Actium a des accents de Corneille.
Son père, en 1617, avoit épousé madame de Moret, ancienne maîtresse de Henri IV (Jacqueline de Bueil, née vers 1580, mère, en 1607, d'Antoine de Bourbon, comte de Moret, mariée en 1610
Je t'en défie, dit Montbar en versant dans le verre d'Antoine tout ce qui restait de la seconde bouteille. Vous savez le proverbe? dit le postillon. Lequel? Il ne faut pas défier un fou de faire sa folie. À la santé des compagnons de Jéhu. Ainsi soit-il! dit Montbar. Et les cinq louis? fit Antoine en reposant le verre sur la table. Les voil
Quelque temps il demeura devant le chevet d'Antoine. Il regardait Julie
Plutarque, Vie d'Antoine. Appien, V, 73, attribue
Eh bien, je vais te le dire, pourquoi je t'ai fait monter. Je suis tout oreilles. Attends! Je crois que tu entendras encore mieux si ton verre est plein que s'il est vide. Est-ce que vous avez été médecin des sourds, vous, par hasard? demanda le postillon en goguenardant. Non; mais j'ai beaucoup vécu avec les ivrognes, répondit Montbar en remplissant de nouveau le verre d'Antoine.
C'est une incomparable histoire que celle d'Antoine et de Cléopâtre, et si émouvante et d'une telle somptuosité voluptueuse, et tragique, que l'art n'y peut rien ajouter, pas même l'art d'un Shakespeare. Il faut la lire dans Plutarque. Ce vieux Plutarque est un merveilleux narrateur. Je vous recommande aussi l'étude de M. Henry Houssaye, judicieuse avec élégance, et qui est un excellent récit.
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