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Mis à jour: 5 mai 2025
Croyez-moi, je connais mon père. Conçoit-on cela? répondit la jeune femme; en quoi, je vous le demande, M. d'
J'admire, répliqua Athos en souriant de cette gaieté qui lui rappelait leurs bons jours, que nous ayons autrefois formé au hasard une société d'hommes encore si bien liés les uns aux autres, malgré vingt ans de séparation. L'amitié jette des racines bien profondes dans les coeurs honnêtes, d'Artagnan; croyez-moi, il n'y a que les méchants qui nient l'amitié, parce qu'ils ne la comprennent pas.
Croyez-moi, dit-il en voyant que j'allais insister, l'homme dont vous parlez n'oserait lever le bras sur moi, puisqu'il n'ose pas seulement lever les yeux
Oui ... et il ne me serait pas difficile de reprendre ici la suite de cette querelle ... de l'arrêter.... Eh! cela n'arrêterait pas son neveu! répondit Scarpante. Je saurais bien me débarrasser du neveu comme de l'oncle! Non! ... non!... pas de querelle! ... pas de bruit! ... répondit Scarpante en insistant. Croyez-moi, seigneur Saffar, que ce Kéraban ne puisse pas soupçonner votre présence ici!
Croyez-moi, mieux vaut en finir tout de suite; tuez-moi. Biscarre ricana: Pas encore, fit-il; et d'abord, puisque tu ne daignes pas m'être reconnaissant d'avoir bien voulu te rendre la liberté de la langue, tu me permettras de retirer cette concession. D'un mouvement rapide, il rattacha aux lèvres de Gauche le bâillon un instant écarté.
Parce que c'est mon devoir, monsieur, parce que si je meurs, je mourrai désespéré de cette idée que ma folle passion a perdu la plus pure et la plus noble des femmes. Ah! croyez-moi, les mourants ne mentent pas, vous n'avez rien
C'est très mal porté d'être un officier irréprochable. D'ARTELLES. Commandant! CORLAIX. Croyez-moi..,
Ma chère, reprit miss Ellen, croyez-moi, toutes ces émotions que vous avez éprouvées depuis deux jours vous ont brisée. Vous avez besoin de repos, mettez-vous au lit et attendez avec patience et courage le retour de mon père. Je ferai ce que vous voudrez, ma belle demoiselle, répondit l'Irlandaise avec soumission. Vous me le promettez? Oui. Bonsoir donc, ma bonne, et ayez foi en nous.
Et pourquoi? Je n'en sais rien, mais prenez toujours, croyez-moi. Ma rapière, Mouston, dit Porthos. Mais c'est tout un attirail de guerre, monsieur! dit celui-ci; nous allons donc faire campagne? Alors dites-le moi tout de suite, je prendrai mes précautions en conséquence.
«Elle aura bien raison, et nous serions bien fâchés qu'elle y manquât. Croyez-moi, mon cher ambassadeur; nous n'avons aucune envie que vous n'exerciez pas en Orient l'influence qui vous appartient. Nous savons combien votre influence y est nécessaire; et soyez sûr que, si la prépondérance d'une autre puissance y devenait en effet menaçante, vous nous verriez
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