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Reprenant sa route avec une escorte d'officiers français, Balachof croisa bientôt un brillant état-major,

Il vit les deux blanches mains de Reine qui se joignaient sous son voile. Aubry tira son épée, la baisa et la jeta devant le duc. Après quoi, il croisa ses bras sur sa poitrine. Le duc recula. Ce coup le frappa presque aussi violemment que l'accusation même de fratricide. On entendit glisser entre ses lèvres blêmes ces mots prophétiques: Je mourrai abandonné!

Il gagna rapidement la porte au milieu des cris et du pêle-mêle. Dans l'escalier il rencontra quelques sans-culottes qui accouraient. Une fenêtre s'ouvrait en face de lui; Marcof n'hésita pas un moment, il la franchit et sauta en dehors. Il était tombé devant le poste même de la compagnie Marat. La sentinelle croisa la baïonnette sur lui. Le marin se releva vivement et prit la fuite. Une balle siffla

L'homme quitta les avirons, croisa les bras et répondit: Vous tuer. Comme vous voudrez, dit le vieillard. L'homme haussa la voix. Préparez-vous. A quoi? A mourir. Pourquoi? demanda le vieillard. Il y eut un silence. L'homme sembla un moment comme interdit de la question. Il reprit: Je dis que je veux vous tuer. Et je vous demande pourquoi. Un éclair passa dans les yeux du matelot.

Au fait, répliqua Michel Ardan, l'autre monde tout entier peut bien nous consoler de cet astre infime qui s'appelle la Lune! Barbicane croisa ses bras sur sa poitrine par un mouvement de sublime résignation. «A la volonté du Cieldit-il Les sondages de la susquehanna «Eh bien, lieutenant, et ce sondage?

Le Breton renversa son bicorne sur sa nuque, croisa les bras et se mit

Vous en êtes tout autant convaincu que moi, monseigneur. Je pourrais le croire, monsieur, si nous n'avions ici des instruments merveilleux pour arracher des paroles aux plus muets. Essayez, dit Belle-Rose, et il se croisa les bras sur la poitrine. M. de Louvois le regarda un instant sans parler, puis se leva.

À ce mot, Jean Valjean devint farouche. Il croisa les bras, considéra le plancher

Le vieillard, en achevant ces mots, croisa lentement les bras et pencha la tête, paraissant remonter dans sa mémoire le cours de ses amers souvenirs, et ne songeant plus

Pardaillan se croisa les bras. Guise haussa les épaules. Allons, dit-il, j'étais venu pour voir un paladin... Gardes, conduisez-le