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Tu es convaincue que les idées religieuses sont un meilleur appui pour la morale, que le culte de l'honneur et de l'opinion publique. Crois-moi, l'honneur a sa conscience comme la religion; et rougir

Ton père est menacé aussi, mais tu l'es davantage. Ne m'interroge pas, crois-moi. Je te l'ai dit, je hais les violences inutiles, mais je ne recule devant rien qui soit bon et nécessaire. Il faut que je t'aide et je t'aiderai. Ton père et toi ne pouvez rien sans le capucin de l'Etna et les restes de la bande du Destatore. Tout cela est prêt. Tu me pardonneras si, avant de risquer des choses graves, j'ai voulu savoir

Affamés! ma bonne Madge, répondit Mrs. Paulina Barnett. Va, crois-moi, nous n'avons rien

Je ne l'ose. Tu ne l'oses! quand des millions d'autres osent se révolter, le glaive en main! cela est étrange. Romps, je te prie, ce fidèle silence; tu viens trop tard pour frapper de nouveaux coups ton souverain; crois-moi, je puis supporter plus que tout ce que tu vas m'apprendre. Tu entends, poursuis.

Mais les saints noeuds du mariage le tiennent engagé. Sganarelle ! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois-moi, quel homme est don Juan. Gusman

Pardonne-moi, Thérèse, pardonne-moi! j'ai empoisonné ta jeunesse, j'ai troublé la paix de ta famille, mais je pars... Ah! je n'aurais pas cru avoir ce courage: je puis te quitter et ne pas mourir de douleur; c'est beaucoup, crois-moi. Profitons de ce peu de moments que la raison me laisse encore; plus tard peut-être n'en aurais-je pas la force. Je pars, Thérèse, je pars, l'âme pleine d'une seule pensée, celle de t'aimer toujours et de toujours te pleurer. Je pars en m'imposant l'obligation de ne plus t'écrire, de ne plus te revoir, que lorsque je serai certain que tu n'as plus rien

Tu es un terrible, Pastorel! dirent les cavaliers. Bravo, Pastorel! dit le père Augias. Le cheval est tien, mais crois-moi, je connais la bête, ça n'est pas fini entre elle et toi. Le Sultan est rancunier. Tant que tu es sur son dos, étant le cavalier que nous avons vu, tu ne crains rien. Toutes les fois que tu seras

Nous ne pouvons pas rester vieilles filles toutes les trois: c'est bien assez de moi! répétait-elle sans cesse. Il faut un homme dans une maison. C'est indispensable! Les femmes ont beau faire... Oui, oui, Clairette, crois-moi!

Ne préviens pas, crois-moi; ton chef ne pourra rien dire et tu le mettras dans un rude embarras.» «Oh! ça, oui, dit-il, et dans une fameuse colère quand il ne me verra point venir. Oui, tu as raison, c'est une riche idée. Quand je lui annoncerai que ma mère est morte, il sera bien forcé de se taire

Jeune fille, crois-moi, s'il en est temps encore, Choisis un fiancé joyeux,